Le Collet-de-Dèze a été un lieu de passage important sur la voie diocésaine allant de Chamborigaud à Saint-Germain-de-Calberte. Mais la construction de chemins carrossables dans les Cévennes a été ralentie à partir du XVIe siècle à la fois par le pouvoir royal pour brimer les populations converties au protestantisme, et également par le refus des communautés cévenoles ne souhaitant pas faciliter l'arrivée des troupes par de nouveaux chemins. À la fin du XIXe siècle, l'ouverture de la route nationale et l'arrivée du chemin de fer ont transformé et modifié le village autour de ces nouveaux axes de communication.