À travers leur version géante, l’œuvre Sweet Dreams essaye de réparer symboliquement les rêves de la rivière Sambre, des bateliers mais surtout de leurs enfants. Réalisés à partir dʼanciennes barres à roue, appelées également « macaron », provenant de péniches démantelées et de cordage utilisé sur les bateaux, les dreamcatchers éloignent symboliquement les mauvais rêves pour ne garder que les rêves positifs et porteurs dʼespoir. Le « nouage / tressage » qui fait partie de la tradition batelière se trouve ici mêlé à une autre tradition bien plus lointaine. Chaque dreamcatcher porte un nom différent faisant référence au nom de la péniche d’où provient la barre de gouvernail, précédé du nom générique Sweet Dreams. »
Les attrape-rêves capturent également la chance et les coïncidences heureuses.