Le pin maritime introduit au début du siècle par les houillères, c'est à dire pour réaliser les charpentes qui permettaient de soutenir les galeries des mines, a envahi la châtaigneraie dégradée et les terrasses abandonnées par l'agriculture. Les peuplements sont composés de 60 % de résineux et de 40 % de feuillus (châtaigniers et chênes).