Comme les autres espèces d'écrevisses autochtones de l'ouest de l'Europe, elle est en rapide et constant recul depuis plusieurs décennies, en raison de pressions anthropiques comprenant le braconnage, la pêche intensive, et la dégradation de la qualité de l'eau et de l'habitat, ainsi que la concurrence d'espèces introduites. Elle est considérée par certains auteurs comme une espèce patrimoniale et bio-indicatrice, voire une des espèces phares pour une bonne qualité environnementale.