Pas moins de quatorze rues des deux communes évoquent la journée du 19 août 1914. Celles de la Bataille et des Chasseurs Alpins sont situées au pied du Geissberg, la colline où le 97e RIA français connut les pertes les plus considérables. Il s’agissait en fait d’un régiment d’infanterie alpine et non d’un régiment de chasseurs alpins. Le millier d’hommes de son 1er bataillon n’était pas coiffé d’un képi, mais d’un béret (comme les chasseurs), d’où la confusion.