Ici, contrairement à ce que son nom évoque, pas de dune ni de mirage mais plutôt un étroit passage s'apparentant à un canyon aux falaises suintantes d'humidité, gorge sculptée par des flots ancestraux.La richesse botanique des lieux avait interpellé Jean-Jacques Rousseau qui aimait herboriser lors de ses séjours à Grenoble. Il résida même pendant un mois tout près, à Beauregard en 1768.