Le courant romantique connaît son apogée au XIXe siècle. La montagne devient un sujet central dans les peintures de paysage et s’accompagne souvent de scènes agraires qui relatent un idéal d’harmonie. Le Mont Aiguille offre alors à ces artistes une esthétique qui sera explorée à partir des différents points de vue que permettent les sommets et plateaux alentours. Le style de l’époque nous montre un Mont Aiguille idéalisé, symbole d’une nature harmonieuse. L’humain y apparaît discrètement, dans ses occupations quotidiennes ou en contemplation. Il se dégage de ces peintures une impression de sérénité et de tranquillité qui rompt avec le tumulte de nos vies contemporaines.