Autour d’Henri Queuille, la haute Corrèze s’impose au cours de la Seconde Guerre mondiale comme l’un des bastions de la Résistance. Les forêts ainsi que les gorges de la Dordogne et de la Luzège constituent le refuge idéal pour le maquis, avec notamment des abris rocheux difficiles à débusquer. Non loin du village de Beunac, une plaque à la mémoire des maquisards de la vallée de la Dordogne rappelle l’existence d’un camp de résistants dans une grotte surplombant la Dordogne. Ce camp fut attaqué par les forces de la police de Vichy le 15 juin 1944.