Il y a un soupirail en dents de sorcière aux numéros 24 et 5 : la fenêtre du sous-sol se pare d’un peigne de sorcière qui joue le rôle d’un bouclier magique contre les maléfices. Il s’agit d’une barre horizontale hérissée de crochets, de dents ou de lames courbes qui visent à déchirer l’éventuel démon lors de son passage.
Un pigeonnier sur le pignon des numéros 11 et 17.
La maison du maître de carrière n°15, maison très étroite en pierre. Le nom du dernier exploitant, Jules Dotreppe est toujours visible ainsi qu’une potale dédiée à Saint Donat.
Une corniche en dessins de briques aux n° 3,5,7.
Des ancres sur la façade du n°8 : extrémités d’une barre de fer, le tirant, destinées à empêcher l’écartement de 2 murs opposés ou en angle. Elles sont traitées comme un ornement (simple barre, lettre X,S,Y ou crochet…)