Les villes thermales, en tant qu'entreprises, ont nécessité des investissements parfois audacieux dans des équipements indispensables à la réputation et à la compétitivité, sur le "marché" national, des villes d'eaux. Les plus réputées d'entre elles se targuent aujourd'hui d'un patrimoine architectural souvent original. À Divonne, au tournant du XXème siècle, le legs des équipements thermaux du siècle dernier a obligé à des réaménagements urbains et à des choix politiques déterminants de la part des décideurs contemporains. Après-guerre, la nouvelle municipalité de Marcel Anthonioz, qu'il dirigea jusqu'à sa mort en 1976, s'employa à une politique de relance de la station thermale. Un tournant radical quant aux modalités d'accueil des curistes et à la politique touristique de la Station. (PNRHJ - Un tour en ville)