Ces ruines gagnées par la végétation étaient le centre vital d’une économie de subsistance. C’est ici, dans ce moulin entraîné par les eaux de la Valserine, que les fermes alentours apportaient leurs céréales. Le Moulin Thomas transformait l’orge et le froment en farine. Le meunier gardait un vingtième de la production en paiement de son travail. À proximité, une scierie complétait cette activité.