Les «goyas», ces mares artificielles aux allures pourtant naturelles, parsèment les alpages du Grand Crêt d’Eau. Au printemps, à la fonte des neiges, ils se remplissent d’eau. Des myriades de tétards de Triton alpestre grouillent au soleil du matin.
L’infiltration rapide des eaux de pluie dans le sous-sol karstique et l’absence de source sur les sommets ont amené les hommes à créer ces réserves d’eau imperméables pour abreuver le bétail (extrait du livret: Au fil de l’alpage).