Le franchissement du canal n’est possible que grâce aux six ponts construits sur ses quinze kilomètres de longueur. Il faut, cependant, que les ruisseaux venant des coteaux puissent rejoindre la Dordogne. De même, des marcheurs ne sont pas prêts, faute de barque, à effectuer un détour de plusieurs kilomètres pour rejoindre la berge d’en face. C’est pourquoi une dizaine d’aqueducs sont percés sous l’ouvrage pour permettre de le franchir.