Les premiers cyprès auraient été importés de Méditerranée par un riche notable gallo-romain qui en aurait fait entourer sa villa. L’essence se développa si bien que la forêt devint royale au Moyen Âge. Le droit de la branche de cyprès eut ses heures de gloire jusqu’au XVII siècle. Mais en 1709, lors d’un hiver rigoureux, elle fut éradiquée. Seuls quelques spécimens subsistèrent, au Cypressat. Aujourd’hui, ses 17 ha de pentes douces sont accessibles à tous, y compris aux personnes à mobilité réduite. Outre les cyprès, la forêt compte 1 200 arbres répertoriés et des belvédères offrent une vue panoramique sur l’agglomération.