La porte, à la peinture volontairement écaillée, lève un coin de voile sur le siècle précédent. Une table, une armoire, quelques objets usuels, la flamme vacillante d'une bougie éclaire un registre jauni, à l'écriture toute en pleins et déliés. Le vrai-faux journal de Jean BARTHOU, instituteur et secrétaire de Mairie au 19 ème siècle, est narré et explique comment cet habitat dispersé a donné naissance au village.