Cette porte est la seule encore en place parmi les quatre qui contrôlaient l’accès dans la ville.
En 1467, le comte Jean VIII la concède à perpétuité aux échevins qui décident d’y tenir leur assemblée.
La porte est ornée d’un décor de médaillons au XVIe siècle. Les réunions du conseil municipal et les mariages s’y déroulent de nouveau depuis sa restauration en 1959 suite à l’incendie lié au bombardement de 1940.
La maison "Fisseau", à côté de la porte Saint-Georges, date de 1947. Albert Fisseau, charpentier compagnon du devoir, a
réalisé cette maison en pans de bois dont une des lucarnes est très ouvragée.