Ce sentier est déjà mentionné dans un document de 1710 : « une ruelle appelée la dicque » et en 1730 : « une ruelle ou voie d'aisement appelée la Dicque extante en lieu dit alle morteawe et tendant jusqu'à Hardémont ». Selon une légende « à cent mètre de chaque coté de la route, il y a deux sentiers parallèles, la dicque et la brigade qui ont été tracés au Moyen Âge pour permettre aux seigneurs de Hardémont et de pont de la ville de sortir de leurs terres sans se rencontrer parce que cela faisait toujours des échauffourées juste au puits du moulin. » A proximité de ce sentier on rencontre en abondance des aulnes et des saules têtard.