Je redescends en pente douce par les pelouse calcicoles en disant bonjour aux chèvres. Il est 13h30, j’arrive à Vergisson où je me lance dans un parcours sur l’architecture du village. Je deviens vite familier de ces murs traditionnels laissant dépasser de grosses pierres appelées « laves ». Les petites rues du village sont animées par le trafic des engins et les vendangeurs qui rentrent déjeuner, tout comme moi.