Vers 1750, le meunier s’appelle Gabriel Mignot.
Lors de l'élaboration du cadastre napoléonien en 1823, la propriété d'Antoine Mignot est composée d'une étable, d'un moulin accolé à la maison et d'un petit bâtiment appelé "usine à huile", industrie unique dans la région.
Le dernier meunier, Joseph Bony, semble stopper son activité aux alentours de 1906.