Originaire de Tunisie, il utilise la calligraphie arabe dans ces fresques, tentant de la sortir de son utilisation initiale pour que les gens regardent l'œuvre et ne cherchent pas à la lire.
Il utilise de la peinture, qu'il dilue avec plus ou moins d'eau, et dessine des morceaux de lettres qui semblent "couler", donnant une impression paradoxale d’élévation.