Institut Saint-Joseph, section maternelle/primaire et point de croisement avec le circuit historique 40-45.Vidéo de conclusion sur l’engagement.Réponses aux questions posées tout au long du parcours:Point 1 : réponse B La loi belge interdit les propos racistes, xénophobes (qui sont hostiles à ce qui est étranger), discriminatoires (qui opèrent une différenciation entre personnes ou groupes humains), négationnistes (qui nient l’extermination des Juifs durant la Seconde Guerre mondiale), diffamatoires (qui nuisent à quelqu’un∙e sans justification) ou injurieux.Point 2 : réponse B Pour asseoir son pouvoir, un régime totalitaire s’assure d’avoir le contrôle des idées véhiculées par le système d’éducation officielle. Voici en exemple un des problèmes que l’on pouvait trouver dans le cahier de mathématiques d’un élève allemand lors de la Seconde Guerre mondiale : « Un aliéné coûte quotidiennement 4 marks, un invalide 5,5 marks, un criminel 3 marks. Dans beaucoup de cas, un fonctionnaire ne touche que 4 marks, un employé 3,65 marks, un apprenti 2 marks. Faites un graphique avec ces chiffres. D’après des estimations prudentes, il y a en Allemagne environ 300 000 aliénés et épileptiques dans les asiles. Calculez combien coûtent annuellement ces 300 000 aliénés et épileptiques. Combien de prêts aux jeunes ménages à 1 000 marks pourrait-on faire si cet argent pouvait être économisé ? » (Manuel scolaire nazi, cité par A. Grosser, Dix leçons sur le nazisme, Fayard, 1976).Point 3 : réponse BSelon le contexte et la période, résister comporte plus ou moins de risques.Par exemple, manifester pacifiquement est accepté en Belgique en 2020, ce n’est pas le cas dans d’autres pays comme la Russie où nombre de manifestant∙e∙s pacifiques ont été arrêté∙e∙s arbitrairement ces dernières années. Point 4 : réponse C Lors de la Seconde Guerre mondiale, les conditions de vie des citoyen∙ne∙s étaient difficiles. Un exemple est celui des interpellations et arrestations arbitraires, les citoyen∙ne∙s n’étant plus protégé∙e∙s par la justice comme ils auraient dû l’être. Les personnes emprisonnées en Belgique ou déportées dans des camps nazis n’étant souvent pas conduites devant un tribunal et n’ayant pas de procès équitable justifiant de cet emprisonnement.Point 5 : réponse C Le premier pays européen où les femmes ont acquis le droit de vote est la Finlande en 1906. Le Vatican est en 2020 le dernier pays européen à ne pas autoriser le droit de vote des femmes. Ce droit a été obtenu dans divers pays suite à la lutte de plusieurs femmes ou groupes de femmes, parfois soutenues par certains hommes et souvent réunies en associations, qui ont manifesté, écrit, protesté afin d’avoir les mêmes droits que tout le monde.