Les quartiers étaient l’âme de la Grande Lande. C’est dans ces lieux de vie que se regroupait l’essentiel de la population qui vivait d’agriculture, de l’élevage des brebis et du gemmage. Aujourd’hui, l’habitat traditionnel landais y est plus ou moins conservé : maison à colombages, moulin, bergeries, poulaillers perchés, granges, se répartissant sur une pelouse ombragée de chênes et de châtaigniers plus que centenaires appelée « airial ».
L’airial est un espace ouvert à la libre circulation des hommes et des animaux. C’est un espace de pelouse planté de feuillus, chênes, châtaigniers, fruitiers, qui accueille les bâtiments du quartier : maisons, granges, …