En 1866, avec 22 ménages et 101 habitants le village connaît son maximum démographique. Ses habitants, des paysans très petits propriétaires (moins de dix hectares) quittent presque tous les lieux, dans la seconde moitié du siècle, pour s’installer sur le plateau mieux adapté aux évolutions de l’agriculture et de la circulation. La crise du phylloxera de 1886 a sans doute accéléré cet exode vers le plateau. On retrouve encore par endroit, les restes de vignes qui couvraient en terrasses les abords du hameau. Témoins vivants d’une activité disparue…