Les Aires publiques, où l’on foulait les grains mais aussi où l’impôt local était prélevé en nature jusqu’à la révolution, se situaient souvent en hauteur, en des lieux ventés qui permettaient de mieux séparer poussières et criblures du grain. Elles ont donné leur nom à ce quartier. Nous sommes hors du quartier médiéval dont la limite orientale est constituée par la rue des Aires au bas de laquelle s’élève la tour de l’Horloge.