La force motrice de l’eau a été utilisée pendant des siècles par l’activité industrielle du village jusqu’à l’arrivée de la machine à vapeur. À la fin du XIXe siècle elle remplace petit à petit l’énergie hydraulique. La région, fortement soumise à la sécheresse estivale, met ainsi fin aux problèmes de production liés au manque d’eau et à son irrégularité. Les cheminées en briques adossées aux usines, dont certaines sont encore visibles dans le village, sont les témoins de ce passage à la vapeur.