Le chêne blanc qui infiltre ici progressivement la hêtraie (peut-être une conséquence du réchauffement climatique), est l’une des deux essences naturelles les plus fréquentes de Haute-Provence. Peu réputé comme bois d’œuvre car difficile à travailler en menuiserie, c’est par contre un bon bois de chauffage. Il a longtemps été utilisé pour la fabrication d’un excellent charbon de bois. Les traces de charbonnières sont omniprésentes, encore bien visibles comme des aires circulaires au sol noirci.