Au Pelenc des citernes servaient de réserves d’eau au début du siècle dernier. L’une d’elles porte un nom : la “Citerne des Maquisards”. Ce nom fait référence à un chantier forestier installé dans les bois durant la dernière guerre. La petite troupe, une quarantaine d’hommes, ne s’apparentait pas à proprement parler à un “maquis”, actif et armé, comme il en exista plusieurs dans le Haut-Var à la même époque. La plupart des charbonniers exerçaient ici cette activité ancestrale et traditionnelle.