Aujourd’hui, le taux de mortalité des abeilles est estimé à 30 % et ce chiffre ne cesse d'augmenter chaque année. La faute aux nouveaux virus et agents pathogènes, acariens (varroa destructor), parasites (nosema ceranae), frelons asiatiques (vespa velutina), à la disparition des habitats naturels en raison des monocultures et, bien évidemment, aux traitements phytosanitaires. Les effets des changements climatiques comme la hausse des températures, la multiplication des sécheresses, les inondations brutales et les perturbations des saisons de floraison, ont également des effets désastreux sur la pérennité des abeilles et des pollinisateurs.