La sauveté de Saint-Girons était une zone limitée par 4 colonnes (il en reste 2 aujourd’hui) autour de l’Eglise qui date du XIIème siècle. L’espace de la sauveté, négocié entre les autorités religieuses et le seigneur local était destiné à créer une zone d’exploitation et de peuplement. Les fugitifs, les errants, les déshérités pouvaient venir s’y réfugier et y rester en sécurité. Dans le département, seuls Bougue, Gabarret et Mimizan semblent également avoir hébergé des sauvetés.