Ce site appartenait en grande partie à la société privée d’EDF, qui projetait d’en faire une retenue hydroélectrique. Dès 1996, conscient du potentiel écologique du site, le Conservatoire d’espaces naturel est entré en négociation pour racheter le terrain. En 2005, la Communauté de communes devint propriétaire à l’Euro symbolique et conclut un accord avec le Conservatoire et l’Office National des Forêts pour leur en confier la gestion. C’est grâce à ce partenariat que le site fait aujourd’hui l’objet de tant d’attention et qu’il est ouvert au public.