Construite en 1824, la prison de Saint-lô fut détruite dans la nuit du 6 et 7 juin 1944. 76 patriotes et résistants
enfermés dans la prison sont victimes des bombes. Seule la porte de l’édifice subsiste. Elle est devenue le monument à la mémoire de la résistance et des victimes du nazisme.
Une urne contenant des cendres des déportés est placée au pied de la porte.