Elevée au siècle dernier, par la famille Brébion de la Petite Barbinière, pour rendre grâce à Dieu de la guérison d'un enfant qui tombait du "haut mal" (épilepsie), cette croix se situerait sur les lieux mêmes d'un massacre de trois personnes (dont un prêtre et une religieuse) par les Bleus pendant la Révolution.