Chapelle du 10ème siècle en granit. Le Choeur roman des 10ème et 11ème siècles est la partie la plus ancienne. Au 17ème siècle, le bâtiment primitif est agrandi de la nef, pour abriter les scépultures de René d'Escoubleau de Sourdy et son épouse Gabrielle d'Olle. Les armes des Escoubleau sont au transept, de chaque côté du chœur, sur la clef de voûte, ainsi qu'au dessus de la grande porte. A la base des vitraux se trouvent sur l'un : les armes des de Jouan de Kervanoel accolées à celles des Pontin de la Guère. A l’extérieur, sur le pignon, côté est, on remarque la petite croix, très ancienne, et façade nord, outre le décrochement de la toiture, l'énorme contrefort du chevet. La Chapelle de l’Élu ne s'est jamais substituée à l'Eglise paroissiale. C'est un lieu de dévotion, avant tout, d'origine privée, où s'exprime régulièrement la piété populaire.