Au XIXe siècle, la population de ce quartier change radicalement . Les négociants laissent place à une population plus modeste : charpentiers, couvreurs, lavandières, ... C’est dans ce quartier que résident notamment les chiffonniers, des indigents parcourant les campagnes en quête de tissus destinés à la fabrication du papier. Ils ont développé leur propre langage , le « tunodo », que le poète local Narcisse Quellien s’est employé à recueillir en 1885.