Du mouvement ! Des traits de pinceaux verticaux pour la falaise, obliques pour la plage, courbes pour la vague, à petites touches pour la mer, en rond pour les rochers.
Quel chaut ! Tout cela donne le vertige. Pour accentuer cette sensation, Paul Gauguin ne montre pas le ciel, il guide le regard vers les rochers et la plage.
Sur le chemin, dos au vide, une jeune paysanne écoute son compère, le joueur de flûte.