Dans le massif des Rochers des Tartines, une silhouette se détache nettement; on l’a appelée « La Femme en Prières », « La Vieille qui ramasse du bois » et même « l’Ourse ». Les couches calcaires, en position redressée, ont été façonnées par l’érosion. Les couches de calcaire plus tendres ont presque disparu sous l’influence du ruissellement des eaux. Les plus solides sont toujours visibles à l’heure actuelle sous la forme d’imposantes tranches de pain.