Si l’église paroissiale révèle les déboires sismiques de la ville, la chapelle est le résultat d’une autre calamité tristement célèbre en Provence : la peste.
Saint-Cannat semble avoir été épargnée au début du XVIIe siècle, ce qui incita ses habitants à élever en 1657 cette petite chapelle en remerciement et gratitude envers leur saint tutélaire. En 1992 les reliques de Saint Cannat y prirent naturellement lieu et place.