Ce lavoir-fontaine tient son nom de la présence, un peu plus haut sur la colline, de quatre fourches patibulaires (piliers en pierre sur lesquels reposaient des traverses en bois). Cette structure, aujourd'hui disparue, était utilisée pour exposer les corps des condamnés par pendaison. La tradition rapporte qu’après l’exécution, le bourreau se lavait les mains dans l’eau de la fontaine. À coté se trouve le lavoir de la Justice, le plus haut de la cité.