Endroit où, probablement, se trouvait jadis un étang poissonneux entouré de cerisiers ou de merisiers (cerisiers sauvages). Les viviers étaient très répandus anciennement dans nos régions pour l’élevage du poisson, nourriture très appréciée à l’époque féodale, car bien des communautés ne disposaient que de peu de terres labourables pour y cultiver des céréales. Par ailleurs, la toponymie des plantes est intéressante en ce qu’elle apporte des notions sur les récoltes ou les plantations locales. Les cerises ont été un fruit très apprécié en Gaule, car, outre ses qualités de fruit, la cerise avait également un usage médicinal.