George Sand trouva refuge dans cette maison lors de son procès en séparation de son mari le baron Casimir Dudevant en 1836. Le 25 mai 1836, elle écrivait à son amie Marie d'Agoult : "un jardin de quatre toises carrées, plein de roses et une terrasse assez spacieuse pour y faire dix pas en long, me servent de salon, de cabinet de travail... Je fais un nouveau volume à Lélia".