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Départ : Place de la Mairie Distance : 5,7 km Signalétique : Sentier n°1 Orange A découvrir en chemin : - L'église de St Hilaire le Vouhis - Le buste d'Henri Adolphe Archereau - Logis de la Chevillonnière (XVI - XVIIème)
• Sortir de la place de la Mairie, se diriger à droite rue Henri Adolphe Archereau, remarquer à droite l'église et le buste d'H.A Archereau, puis prendre à gauche rue de l'Europe. • 300 m plus loin, rejoindre la rue de la Binnerie et prendre le chemin aussitôt à droite. • Au bout du chemin, tourner à gauche. • Continuer tout droit puis prendre à droite direction La Chevilonière.
• Arrivé à la Chevilonière, prendre à gauche puis à droite et continuer jusqu’à la départementale. • Longer pendant 200 m la D48 pour rejoindre la rue des Jonquilles à gauche. • Au bout de cette rue, tourner à droite, retraverser la D48 et continuer tout droit pour emprunter le chemin en face. • Au bout du chemin, prendre à droite, longer la route pendant 6 min pour atteindre la nouvelle route à gauche et arriver devant le village de la Croix des Noues.
• Après la Croix des Noues, continuer encore quelques mètres pour prendre à gauche et suivre le chemin direction Les Forges. • Avant les Forges, tourner à gauche et prendre le chemin. • Au bout du chemin, traverser la départementale et emprunter le chemin à gauche. • Au croisement des chemins, prendre à droite et continuer tout droit pour retrouver le point de départ
Ce buste fut sculpté à la mémoire de ce physicien, inventeur de l'éclairage électrique et des agglomérés de charbon, né à Saint Hilaire le Vouhis en 1819. C'est H.A. Archereau qui éclaira pour la première fois la place de la Concorde à Paris à l'électricité Il fut également appelé à Saint Saint-Pétersbourg par le tsar de Russie pour appliquer ses découvertes. Malgré la réussite de ses recherches, il mourut pauvre et méconnu à Paris en 1893. Sa maison natale se trouve au lieu-dit la Roulière, proche du Petit Lay.
Hormis le clocher qui date du XVème siècle, le reste de l'église de Saint Hilaire le Vouhis a été édifié à la fin du XIXème siècle sur les ruines de l'ancienne. Construit sur une colline, on dit que ce clocher servait d'amer - point de repère pour les marins - avant l'assèchement des marais vendéens.
Ce logis de la fin du XVème siècle a été restauré entièrement de 2005 à 2008 et a retrouvé son aspect originel. Des traces plus anciennes sont prouvées par la présence de remparts. La mère de Pierre de Ronsard y vécut quelques années, de 1497 à 1500, avant de donner naissance au poète en 1524 dans le Val de Loire.