Turgon sentier des sangliers

L'implantation de l'église peut dater du milieu du 14e siècle. Peu d'éléments subsistent de cette période sinon le plan et les baies du choeur. Des travaux ont été réalisés de 1880 à 1882 par l'entrepreneur R. Richard de Saint-Claud. Les derniers travaux datent du milieu du XXeme siècle. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Le Plessy pouvait faire partie de la châtellenie de Turgon, mentionnée dès 1559, comme appartenant à François Pastoureau, conseiller au Parlement de Paris qui la possédait encore en 1602. Le logis peut dater de la fin du 16e siècle ou du début du 17e siècle. Le fief est acheté en 1687 par Louis-Gilles Le Maistre, également conseiller au Parlement de Paris et qui ne réside pas au Plessy. En 1770, un de ses descendants vend le Plessy avec les seigneuries de Chassiecq et de Turgon à la duchesse d'Anville, baronne de Champagne-Mouton. Ce manoir a servi d'exploitation agricole vraisemblablement depuis sa création. De nouveaux bâtiments ont été faits ou refaits au 19e siècle et des remaniements ont été apportés au 20e siècle. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Ce manoir est situé peu avant l'entrée ouest du village de Turgon, à l'angle d'un carrefour. Le premier seigneur connu de Champ-Rigaud est Louis de Mallet, écuyer, seigneur de la Marche, archer de la garde du corps du Roi, originaire de Picardie, qui épousa en seconde noce, le 15 mai 1580, Françoise Pinguet, originaire du Plessy, paroisse de Turgon. Le logis date vraisemblablement de la fin du 16e siècle ou du début du 17e siècle. Les dépendances ne semblent pas antérieures au 19e siècle. Le logis a été remanié au 20e siècle. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

En 1692, le domaine des Forges appartenait à Jean Vidaud, écuyer, seigneur des Forges. Cette famille de soldats assez pauvres avait des alliances avec les Mallet et les James. Le logis, qui figure sur le plan cadastral de 1835, semble dater du 18e siècle. Les ouvertures ont été remaniées au 19e siècle. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Cette fontaine-lavoir ne semble pas antérieure au 19e siècle. Elle a reçu un entourage en béton au 20e siècle. La source est sous un édicule circulaire en béton. Devant se trouvent les deux bacs du lavoir avec un entourage de béton. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

L'origine de cette fontaine est inconnue. Dans son état actuel, elle semble dater en majeure partie de la première moitié du 20e siècle. Cette fontaine est située près du hameau de la Garnerie. Elle a été aménagée dans une fosse, l'accès se fait par un escalier droit en pierre. Un lavoir en béton a été aménagé à sa sortie. Les côtés du lavoir sont couverts par deux toitures en appentis en ciment. Les murs de la fosse sont en moellons équarris. Les ouvertures sont couvertes en plein cintre, et leurs encadrements en pierre de taille sont irréguliers. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Ce four banal date vraisemblablement de la première moitié du 19e siècle. Le four est installé dans un petit bâtiment couvert d'un toit à longs pans. L'entrée du four est directement accessible de la route. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine