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Découvrez Ezanville Val-d'Oise : trésors et activités

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Nichée au cœur de l'Ile de France, Ezanville, Val-d'Oise, est une ville où se mêlent charme et découverte. Commencez votre exploration par le splendide Château d'Ecouen, abritant le musée national de la Renaissance, qui se trouve seule à quelques kilomètres. Vous pourrez y admirer des collections d'œuvres d'art millénaires. Pour les amateurs de nature, le Parc Forestier de la Butte Pinson est un l...Voir plus

Se balader autour de Ezanville

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Parcours des peintres
2.6 km

Parcours des peintres

Découvrez Écouen à travers les peintres qui ont travaillé au XIXème siècle dans cette commune. Tout au long du parcours vous trouverez des explications sur des lutrins. Le premier lutrin (lutrin N°1) Paul Soyer (1823-1903) se trouve derrière le bureau d'information touristique. Sur la droite, à l’angle de la rue Emmanuel Duverger, le double lutrin (lutrin N°2) : Carte postale de l’Auberge « A la descente du bois » nous montre, qui existait au début du XXème siècle, une auberge. Place Levachet lutrin N°2bis Auguste Schenck (1821-1900). Au-dessus de la place, le lutrin N°3 Emmanuel Duverger (1821-1898) et André Dargelas (1828-1906) invite à découvrir la belle maison à la verrière imposante derrière laquelle Théophile-Emmanuel Duverger réalisa de nombreux tableaux. Quelques pas plus loin, au numéro 10 de la rue Jacques Yvon logeait Félix Gardon (lutrin N°4 Félix Gardon (1852-1921)). Le lutrin N°5 Demeure de Charles-Edouard Frère vous y attend (place du Souvenir Français). Le prochain lutrin (N°5 Bis) Télégraphe de Chappe se trouve sur la même place. En descendant à la fin de cette rue, vous trouverez à l’entrée du cimetière le lutrin N°6 Enterrés à Écouen. A droite face à l’école Sainte-Thérèse, vous trouvez le lutrin N°7 Pierre Edouard Frère (1819-1886). Découvrir, à droite, le lutrin N° 8 Carte postale Hôtel du Nord. Lutrin N°9 Carte postale Hôtel du Commerce, rue Georges Joyeux. En remontant, à droite, la rue du Maréchal Leclerc au feu rouge, le lutrin 9bis Léon Dansaert (1830-1909) s’y trouve. Parking rue Colette Rousset : le lutrin n°10 Carte postale de l’Abreuvoir, et de l’autre côté de la rue le lutrin N°11 Paul Seignac (1826-1904). Au fond du parking : lutrin n° 12 Jules Paulin Lorillon (1836-1912). En sortant du parc, par la grille en haut à droite, on découvre le lutrin N° 13 Maison de Michel Arnoux. Pour les plus courageux, nous vous invitons à descendre la rue de la Grande Fontaine ainsi que la rue du Four Gaudon, jusqu’au n°3, afin d’atteindre le lutrin N°13 Bis Jean-Baptiste Corot (1796-1875). Au numéro 10 de la rue Paul Lorillon, un lutrin (N°14 Pierre Edouard Frère (1819-1886)) représente un tableau de Pierre Edouard Frère. Place de la Mairie, le lutrin N° 15 Carte postale de l’Hôtel de la Mairie. Devant la Mairie, le dernier lutrin (N°16 Charles d'Entraygues (1850-1929)) se trouve à gauche de la mairie, à l’entrée de la montée vers le château.

2 h
2.6 km
Facile
1 place de l'Eglise Manoir des Tourelles 95440 Écouen
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Musée national de la Renaissance - Château d'Écouen
2.6 km

Musée national de la Renaissance - Château d'Écouen

Nous devons le château d'Écouen au duc Anne de Montmorency. Il accueille, depuis 1977, le musée national de la Renaissance. Les collections comprennent un ensemble exceptionnel d'arts décoratifs, de peintures et de sculptures du XVe au XVIIe siècles. Les collections du musée National de la Renaissance présentent de véritables trésors des arts décoratifs européens : mobilier, orfèvrerie, émaux peints, majoliques, tapisseries... Joyau architectural de la Renaissance française et seul musée en France entièrement dédié à la période, sa vocation est d'éclairer en direction du public le plus large, tous les aspects de la période : histoire, histoire de l'art, civilisation. De nombreuses expositions temporaires viennent rythmer la saison culturelle. De plus, vous pourrez découvrir les tapisseries sur l'histoire de David et Bethsabée qui sont restées intactes au fil des années. N.B. À partir de fin janvier 2023, La Tenture de David et Bethsabée, chef-d’œuvre du musée, sera décrochée pour laisser place à La Tenture des Valois, prêtée par la Galerie des Offices à Florence pour l’exposition sur Antoine Caron. Nos dix tapisseries resteront ensuite en réserves jusqu’à la fin des travaux de la cour en 2027. N.B. Fermeture de certaines salles (sculptures, chambre de Madeleine, Abigaïl, Galerie de Psyché, cabinet et chambre du roi) du 7 mars au 3 avril 2023* en raison du montage de l'exposition "Antoine Caron (1521-1599) Le théâtre de l’Histoire" *Le tarif réduit du billet d'entrée sera appliqué durant cette période.

Rue Jean Bullant 95440 Écouen
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Eglise Saint-Acceul
2.6 km

Eglise Saint-Acceul

Joyau architectural et artistique de la Renaissance, l'église Saint-Acceul est classée aux monuments historiques. Cette église est la seule de France à porter ce nom, et c’est la seule église du Val-d’Oise à posséder ses vitraux d’origine. Classée aux monuments historiques, cette église est la seule de France à porter ce nom, qui demeure mystérieux, même s'il est souvent assimilé à Saint-Andéol, évangélisateur du Languedoc, qui souffrit le martyr au IIIe siècle. Saint-Acceul apparait en effet sur la façade de l'église une scie à la main (Saint-Andéol s'étant vu scier le crâne par les Romains). Joyau architectural et artistique de la Renaissance, l'église Saint-Acceul d'Ecouen constitue un point central du tourisme pour la commune. L'église Saint-Acceul a été bâtie à partir de 1536 par le Connétable Anne de Montmorency (bâtisseur du château d'Ecouen) qui souhaitait faire de cet imposant monument un symbole du rang et de la puissance des Montmorency. Le chœur est achevé en 1545. Par la suite, l'édifice a été de nombreuses fois modifié par la suite : la nef a été construite au début du XVIIIe siècle et la façade au milieu du XIXe siècle. L'alliance de ces multiples périodes, ayant chacun leur style artistique et architectural, confère toute son originalité à l'église, par ailleurs connue pour ses vitraux. L'intérieur dévoile aux visiteurs l'autel et son imposante peinture, une copie de la Transfiguration de Raphaël, ainsi qu'un orgue. Le clocher contient trois cloches dont la plus grosse, qui pèse plus de 1 400 kg, porte les armes d'Anne de Montmorency. Les deux autres cloches pèsent tout de même 850 kg et 600 kg. L'architecte, Jean Bullant, aurait été enterré dans l'église. La principale particularité de l'église d'Ecouen réside dans ses vitraux qui nous sont parvenus intacts depuis la Renaissance. En effet, dans nombre d'église de cette époque, les vitraux ont été brisés au cours des guerres, par accident ou encore volés. Les vitraux sont alors des reproductions plus tardives, aux couleurs parfois ternes. Au contraire, les riches vitraux d'Ecouen, datant du XVIe siècle (époque de la construction du château) réservent bien des surprises aux visiteurs... Les dix verrières, financées par la famille des Montmorency, auraient été réalisées entre 1544 et 1587. Elles représentent d'ailleurs la puissante famille, et même la Passion du Christ à des thèmes plus actuels (l'époque était au déclenchement des guerres de religion).

2 Rue Jean Bullant 95440 Écouen
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Parc du château d'Ecouen
2.4 km

Parc du château d'Ecouen

Au sein de 104 hectares de la forêt d'Écouen, un domaine clos de 19 hectares entoure ce château. Barrière naturelle entre un environnement très urbain et la Plaine de France, ce parc offre au fil des saison une vision de la nature sans cesse renouvelée. Le château d'Écouen, qui abrite aujourd'hui les collections du musée national de la Renaissance, est un monument insigne de la Renaissance française. Construit pour le connétable Anne de Montmorency par les meilleurs artistes entre 1538 et 1555, il est situé sur un promontoire dominant toute la plaine de France. Une forêt le jouxte, traversée de belles allées qui furent autrefois le théâtre de nombreuses chasses. D'après les gravures d'Androuet Du Cerceau, nous savons qu'un jardin orné de seize carrés et clos avait été prévu à l'entrée du château. Mais il semblerait que les travaux de terrassement nécessaires à sa réalisation n'aient jamais été faits et seule une niche à la base d'un des bastions témoigne encore de cette volonté. De même, une grotte ornée d'un splendide décor de végétaux et animaux avait été commandée vers 1556 à Bernard Palissy, le plus célèbre céramiste de l'époque. Mais la mort du connétable en 1567 empêcha le projet d'aboutir et c'est pour Catherine de Médicis aux Tuileries que cette grotte fut achevée. En 1696, le château entre dans la famille des Condé. Jules Hardouin-Mansart transforme alors le paysage en créant une esplanade à l'arrière du château sur laquelle il installe trois parterres aux sobres dessins géométriques. Ceux-ci se poursuivent dans la forêt par une longue allée verte bordée d'arbres et de bosquets au Sud et par un "grand tapis" vert au Nord, à la manière de celui de Versailles. La forêt elle-même est agrémentée de nouvelles allées, de ronds-points d'où rayonnent d'autres allées. En 1805, Napoléon décide d'installer dans le château la première maison d'éducation pour les jeunes filles de la Légion d'Honneur. Un mur d'enceinte clôt alors le domaine. En 1810, le prince de Beauharnais offre à sa soeur, la reine Hortense, protectrice de l'institution, une fontaine dans le fond du parc à l'emplacement présumé d'une ancienne fontaine appelée Fontaine Madame. Lors de l'installation du musée dans ce lieu en 1977, il a été décidé de rendre son aspect original au domaine. Si le "tapis" est irrémédiablement tronqué suite à l'urbanisation, le reste des parterres et des allées a été restauré. Le mur d'enceinte a été percé d'une grille en 1995 pour rendre la perspective voulue par Mansart. Seule la Fontaine Hortense n'a pas encore été restaurée, ce qui, nous l'espérons, ne saurait tarder !

Rue Jean Bullant 95440 Écouen
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Musée national de la Renaissance - Château d'Écouen
2.6 km

Musée national de la Renaissance - Château d'Écouen

Nous devons le château d'Écouen au duc Anne de Montmorency. Il accueille, depuis 1977, le musée national de la Renaissance. Les collections comprennent un ensemble exceptionnel d'arts décoratifs, de peintures et de sculptures du XVe au XVIIe siècles. Les collections du musée National de la Renaissance présentent de véritables trésors des arts décoratifs européens : mobilier, orfèvrerie, émaux peints, majoliques, tapisseries... Joyau architectural de la Renaissance française et seul musée en France entièrement dédié à la période, sa vocation est d'éclairer en direction du public le plus large, tous les aspects de la période : histoire, histoire de l'art, civilisation. De nombreuses expositions temporaires viennent rythmer la saison culturelle. De plus, vous pourrez découvrir les tapisseries sur l'histoire de David et Bethsabée qui sont restées intactes au fil des années. N.B. À partir de fin janvier 2023, La Tenture de David et Bethsabée, chef-d’œuvre du musée, sera décrochée pour laisser place à La Tenture des Valois, prêtée par la Galerie des Offices à Florence pour l’exposition sur Antoine Caron. Nos dix tapisseries resteront ensuite en réserves jusqu’à la fin des travaux de la cour en 2027. N.B. Fermeture de certaines salles (sculptures, chambre de Madeleine, Abigaïl, Galerie de Psyché, cabinet et chambre du roi) du 7 mars au 3 avril 2023* en raison du montage de l'exposition "Antoine Caron (1521-1599) Le théâtre de l’Histoire" *Le tarif réduit du billet d'entrée sera appliqué durant cette période.

Rue Jean Bullant 95440 Écouen
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Eglise Saint-Acceul
2.6 km

Eglise Saint-Acceul

Joyau architectural et artistique de la Renaissance, l'église Saint-Acceul est classée aux monuments historiques. Cette église est la seule de France à porter ce nom, et c’est la seule église du Val-d’Oise à posséder ses vitraux d’origine. Classée aux monuments historiques, cette église est la seule de France à porter ce nom, qui demeure mystérieux, même s'il est souvent assimilé à Saint-Andéol, évangélisateur du Languedoc, qui souffrit le martyr au IIIe siècle. Saint-Acceul apparait en effet sur la façade de l'église une scie à la main (Saint-Andéol s'étant vu scier le crâne par les Romains). Joyau architectural et artistique de la Renaissance, l'église Saint-Acceul d'Ecouen constitue un point central du tourisme pour la commune. L'église Saint-Acceul a été bâtie à partir de 1536 par le Connétable Anne de Montmorency (bâtisseur du château d'Ecouen) qui souhaitait faire de cet imposant monument un symbole du rang et de la puissance des Montmorency. Le chœur est achevé en 1545. Par la suite, l'édifice a été de nombreuses fois modifié par la suite : la nef a été construite au début du XVIIIe siècle et la façade au milieu du XIXe siècle. L'alliance de ces multiples périodes, ayant chacun leur style artistique et architectural, confère toute son originalité à l'église, par ailleurs connue pour ses vitraux. L'intérieur dévoile aux visiteurs l'autel et son imposante peinture, une copie de la Transfiguration de Raphaël, ainsi qu'un orgue. Le clocher contient trois cloches dont la plus grosse, qui pèse plus de 1 400 kg, porte les armes d'Anne de Montmorency. Les deux autres cloches pèsent tout de même 850 kg et 600 kg. L'architecte, Jean Bullant, aurait été enterré dans l'église. La principale particularité de l'église d'Ecouen réside dans ses vitraux qui nous sont parvenus intacts depuis la Renaissance. En effet, dans nombre d'église de cette époque, les vitraux ont été brisés au cours des guerres, par accident ou encore volés. Les vitraux sont alors des reproductions plus tardives, aux couleurs parfois ternes. Au contraire, les riches vitraux d'Ecouen, datant du XVIe siècle (époque de la construction du château) réservent bien des surprises aux visiteurs... Les dix verrières, financées par la famille des Montmorency, auraient été réalisées entre 1544 et 1587. Elles représentent d'ailleurs la puissante famille, et même la Passion du Christ à des thèmes plus actuels (l'époque était au déclenchement des guerres de religion).

2 Rue Jean Bullant 95440 Écouen
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Eglise Saint-Didier
3.9 km

Eglise Saint-Didier

L'église Saint-Didier était anciennement dédiée à Saint Éterne. Hormis deux murs et le croisillon sud remontant au premier quart du XIIIème siècle, l'édifice date essentiellement du dernier quart du XVème siècle et de la seconde moitié du XVIème siècle. L'église actuelle a été bâti au XIIIe siècle en remplacement d'un premier édifice mentionné pour la première fois dans un acte de 1124, et dépendant alors de l'abbaye Saint-Victor de Paris. Orientée régulièrement, elle suit un plan cruciforme, avec une nef à deux bas-côtés ; un transept non saillant ; un clocher central s'élevant au-dessus de la croisée du transept ; et un chœur au chevet plat de deux travées, flanqué de deux collatéraux. Aussi bien la nef que le chœur sont élevés et dépassent nettement en hauteur les collatéraux, ce qui permet un éclairage supplémentaire par des baies hautes. Les murs latéraux de la nef et du chœur sont consolidés par des arcs-boutants dans la continuité des contreforts des collatéraux. Le croisillon sud est flanqué à droite par une tourelle d'escalier ronde donnant accès aux combles, et tenant en même temps lieu de contrefort. Le clocher du troisième quart du XVIe siècle présente des contreforts plats et deux baies abat-son ogivales par face ; il est d'une grande simplicité architecturale. Du XIIIe siècle, subsistent la façade occidentale avec notamment un triplet de trois baies ogivales au-dessus du portail, encadrées par de fines colonnettes et ornées de tores ; la nef avec ses bas-côtés, ainsi que le transept. Ils portent toutefois les traces d'un rehaussement qui a lieu en même temps avec la construction du clocher, soit entre 1546 et 1579, ce qui vaut à leur contreforts une ornementation sculptée dans le style Renaissance. Ces travaux de la période Renaissance sont attribués à l'architecte Jean Bullant. Le chœur et ses collatéraux datent de la période de 1486 à 1498. Ses contreforts sont déjà d'une forme similaire que ceux réalisés ultérieurement à l'ouest, mais ils portent un décor flamboyant nettement moins élaboré. L'église est immortalisée sur une toile du peintre Maurice Utrillo de 1909. L'orgue primitif installé en 1664 a subi de nombreux remaniements durant le XVIIIe siècle. Il conserve 98 % de ses tuyaux d'origine et a été classé en 1939. Après plusieurs années de restauration, l'église a rouvert en janvier 2011.

1 rue Gambetta 95400 Villiers-le-Bel
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Prudence !
Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾