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Nichée au cœur de la Bretagne, Hengoat se dresse comme un portail vers les merveilles culturelles et naturelles de la région. Les passionnés d'histoire peuvent se délecter en visitant les églises romanesques et divers monuments, témoins silencieux d'un riche passé. La région environnante est parsemée de charmants paysages vallonnés idéaux pour des randonnées pédestres revitalisantes ou des balades...Voir plus

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À la découverte du patrimoine - La Roche-Derrien
4.7 km

À la découverte du patrimoine - La Roche-Derrien

La ville a grandi à l’ombre d’une forteresse, au fond de la ria du Jaudy. Le château a été établi sur une éminence rocheuse qui permettait de surveiller le fond de l’estuaire à la limite des eaux fluviales et maritimes. Ici, la rivière est facile à traverser : on y a construit le premier pont traversant le Jaudy. Le château primitif aurait été bâti aux alentours de 1070, par Derrien, fils du comte de Penthièvre, qui a légué son nom au site. Dès le XIIIe siècle, La Roche-Derrien commence à se fortifier, à l’image d’autres villes castrales de Bretagne. Les fortifications illustrent la volonté des seigneurs de montrer leur puissance et d’assurer la défense du territoire en cas de nécessité. La Roche-Derrien devient une forteresse très disputée entre Bretons, Anglais et Français lors de la guerre de Succession de Bretagne (1341 – 1364). En dehors du château qui symbolise la puissance seigneuriale, et dont il ne subsiste que des vestiges, deux autres éléments essentiels structurent la cité : l’église Sainte-Catherine, reflet de la vie religieuse, et la place du Martray qui illustre la fonction économique, en plein coeur de l’espace urbain. Ces trois éléments architecturaux forment une trilogie caractéristique des villes médiévales. Déchue de son titre de place forte à la fin du XIVe siècle, la ville développe son économie et se densifie. Les maisons sont construites sur des parcelles étroites et profondes caractéristiques de la période médiévale. Puis, faute de place, la ville s’étend à l’extérieur de l’ancienne enceinte urbaine, sous la forme de faubourgs. La ville évolue ensuite en investissant de nouveaux axes et terrains où s’installent les industries artisanales qui feront la prospérité de la ville aux XIXe et XXe siècles. Malgré les constructions du XIXe siècle, La Roche-Derrien conserve une structure médiévale avec ses parcelles irrégulières et ses rues étroites. Aujourd’hui, la ville valorise son patrimoine et soutient la création contemporaine à travers différents projets tels que l’aménagement d’un nouvel espace culturel : la Maladrerie, inauguré en 2014.

1 h
3.7 km
Facile
10 Place du Martray 22450 La Roche-Derrien
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À la découverte du patrimoine - Pontrieux
5.1 km

À la découverte du patrimoine - Pontrieux

Implantée à la frontière du Trégor et du Goëlo près d’une ancienne voie qui reliait les cités de Tréguier et de Saint-Brieuc, la ville de Pontrieux s’étend dans une vallée, en fond d’estuaire, à l’endroit où les effets de la marée se font moins ressentir. À marée basse, un gué permettait le franchissement du fleuve à pied. La ville se développe autour d’un pont : il est le premier point de passage en fond d’estuaire permettant de relier les diocèses de Tréguier et de Saint-Brieuc. Ce pont et le fleuve donnent naturellement son nom à la ville mentionnée dès 1317. À deux kilomètres en amont de la cité se trouvait la forteresse de Châteaulin-sur-Trieux construite par les comtes de Penthièvre. Lors de la guerre de Succession de Bretagne de 1341 à 1420, les deux villes Châteaulin-sur-Trieux et Pontrieux sont victimes de plusieurs pillages. La forteresse est détruite, Châteaulin-sur-Trieux périclite au profit de Pontrieux qui devient alors l’unique centre de la seigneurie. Pontrieux se développe grâce à son port et devient un carrefour marchand incontournable. C’est par ce port que transite une grande partie des marchandises destinées à Guingamp et ses alentours. L’importation de matières premières favorise l’implantation de diverses activités le long du Trieux. Elles tirent, pour la plupart, leur énergie du fleuve. Au XIXe siècle, avec le développement des industries, Pontrieux connaît une période de prospérité économique, le paysage urbain se transforme. En 1840, la construction du pont de Lézardrieux à l’embouchure du Trieux porte préjudice au commerce pontrivien. Néanmoins, l’arrivée du chemin de fer en 1884 et les nouveaux aménagements du port en 1903 stimulent encore l’activité commerciale. Après la Première Guerre mondiale, les industries disparaissent laissant derrière elles les témoins de leur histoire. Conscients de ce patrimoine, les Pontriviens s’attachent à le valoriser à travers leur programmation culturelle. Aujourd'hui, la ville jouit d’une nouvelle notoriété à travers son cadre de vie et l’activité touristique qu’elle propose.

50 min
2.4 km
Très facile
62 Rue du Port 22260 Pontrieux
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Talus-murs et barrières de champs
2.1 km

Talus-murs et barrières de champs

L'absence de remembrement sur la commune de Pouldouran a permis de conserver de nombreux talus-murs le long des voies communales. Outre leur intérêt historique, esthétique et patrimonial, ces ouvrages ont un rôle agronomique, écologique et paysager. Associés aux talus construits en mottes, perpendiculairement à la pente des terrains, ils permettent de lutter contre l'érosion des terres en réduisant les risques de ruissellements trop rapides. Ils participent à la reconquête de l'eau en favorisant son infiltration par le sol, jouant ainsi un rôle de filtre naturel. Traditionnellement surmontés d'arbustes ou d'arbres, les haies servaient de clôture naturelle pour les bêtes, fournissaient, suivant les essences, du bois de chauffage, du bois d'oeuvre, du fourrage d'appoints, des fruits. Les talus participent à l'aménagement de l'espace rural, ils structurent le paysage de la commune et contribuent pleinement à son identité. Les talus-murs sont une spécificité du Haut Trégor, construits au 19ème siècle pour retenir la terre des champs, lutter contre l'érosion des sols, éviter les trop fortes crues. Durant les mois d'hiver, l'abondante main-d'oeuvre des riches fermes trégorroises était occupée à la construction de ces talus-mur dont l'important linéaire caractérise le paysage agricole de ce territoire. L'association "L'école des talus" oeuvre depuis les années 1990 à leur restauration et à leur reconnaissance en tant que patrimoine identitaire. La Maison des talus et des routoirs à lin inaugurée en juin 2012 vient valoriser le travail mené par cette association et la communauté de communes du Haut Trégor. Les talus-mur sont construits avec 2/3 de pierre et 1/3 de terre, souvent plantés d'arbres (cerisiers, pommiers, charmes...) dont les racines se développent davantage côté champ que dans la pierre. Des encoches de 20 à 70 centimètres sont parfois ménagées dans le talus pour les arbres. La qualité de la mise en oeuvre en moellon de schiste explique la bonne conservation de ces constructions. Les talus sont interrompus par les entrées de champs, délimitées par deux poteaux de granite et fermées par une barrière en bois de châtaignier. En bord d'estuaire, dans le port de Pouldouran, la hauteur des talus-murs coïncide avec celle des grandes marées pour protéger les terres agricoles de l'érosion marine. De nombreux chemins jalonnent le territoire. Les chemins creux (voie de circulation creusée entre deux talus) ont été bien conservés sur la commune et sont valorisés par la randonnée. Certains d'entre eux et certaines routes sont enserrés de talus murs.

D20 22450 Pouldouran
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Enclos paroissial
2.3 km

Enclos paroissial

. L’église paroissiale Saint-Bergat L'église Saint-Bergat forme un ensemble homogène et contemporain avec le cimetière environnant, la croix du cimetière, le décor intérieur peint, le mobilier (retables, maître-autel, chaire à prêcher...) conçus pour l'édifice, au moment de sa construction dans le 3e quart du 19ème siècle. Il est représentatif du goût de l'époque pour le néo-gothique, en particulier pour le gothique rayonnant du 14ème siècle que l'on trouve sur quelques édifices emblématiques du Haut Trégor. Comme beaucoup de clocher d'église néo-gothique, celui de Saint-Bergat est inspiré de Notre-Dame du Kreisker (Saint-Pol de Léon). L'église paroissiale Saint-Bergat est édifiée en 1859, à l'emplacement de l'ancienne église figurée sur le cadastre ancien de 1835. Elle est construite sur les plans de l'architecte Cangilly, par les entrepreneurs Gonery et Kerleau. La tour du clocher est réalisée dans un second temps, entre 1866 et 1867, sur les plans du recteur l'abbé Le Gorre. Le décor intérieur de l'église (décor des voûtains, peintures) est réalisé en 1864 par Raphaël Donguy, peintre décorateur de Saint-Brieuc. Construite en grand appareil de granite, l'église adopte un plan en croix latine avec chevet à pans coupés. Le clocher-porche est couronné d'une flèche en maçonnerie de plan octogonal flanquée de quatre clochetons reliés par une balustrade ajourée. Les contreforts élevés sur la face extérieure du bâtiment ont un rôle plus symbolique que de soutien réel aux murs de la nef. Le couvrement intérieur est à fausses voûtes sur croisée d'ogives en plâtre. les quartiers de voûte sont peints de volutes et d'arabesques dorées sur fond bleu nuit. [ Sources Services régional de l’inventaire] . La croix du cimetière Cette croix, de 1863, fait partie des 517 croix et calvaires sculptés par Yves Hernot senior (1820-1890) dont l'atelier est situé à Lannion. Réalisée quelques années avant l'apogée de sa carrière (Grand prix de Rome et Exposition universelle de 1867), elle est représentative de son oeuvre, en granite et kersantite de Daoulas, à fût écoté et fleurons ouverts aux extrémités des bras du croisillon. Contemporaine de l'église paroissiale, elle forme un ensemble homogène avec cette dernière, représentatif du goût de l'époque. Inscription sur le socle : O CRUX AVE SPESUNICA CETTE CROIX DONNEE A L'EGLISE DE POULDOURAN PAR Fse ADAM, VEUVE DE Pre RIOU ET PAR SES ENFANTS A ETE BENNIE PAR l'ILLUSTRISSIME SEIGNEUR DAVID, EVÊQUE DE St BRIEUC ET TREGIER. 1er MAI 1863. LE CORRE, RECTEUR YVES HERNOT, SCULPTEUR. [Sources Service régional de l'Inventaire]

13 Le Bourg 22450 Pouldouran
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. Ecole primaire
2.6 km

. Ecole primaire

Ecole mixte représentative des modèles de constructions scolaires proposés aux petites communes, au début du 20ème siècle. Malgré quelques remaniements et quelques adjonctions postérieures, l'ensemble conserve une certaine unité. Une école publique de garçons existe déjà en 1843 à Pouldouran, installée dans une maison d'habitation sans étage, en mauvais état, située dans le bourg. La construction d'une nouvelle école primaire mixte est envisagée dès 1897 par la municipalité mais les plans et devis ne sont établis qu'en 1913 par les architectes Claude-Joseph Lageat et Yves Audigou. Les travaux dureront plus de vingt ans : ils commencent en 1914 puis s'interrompent avec la guerre et la mort de l'entrepreneur Le Collen, tué sur le front en 1915. Les travaux reprennent en 1921 avec l'entrepreneur Le Besque, après approbation par le conseil municipal du devis d'achèvement de la construction scolaire. Bien qu'ouverte aux élèves vers 1923, l'école n'est pas complètement achevée et des travaux supplémentaires sont nécessaires pour la finir. En 1938, l'architecte Jules de Jaegher de Lannion établit le certificat de réception définitive et l'entrepreneur Kerambrun le devis d'achèvement. Les travaux semblent totalement achevés en 1939. Ecole primaire formant alignement, composée d'une maison d'habitation et de deux classes. Chaque classe a sa cour distincte entourée de murs, son entrée particulière, ses latrines, son préau. La maison d'habitation du couple d'instituteurs, à étage carré et sous-sol à usage de cave, comprend : au rez-de-chaussée, cuisine et salle à manger, cellier et cabinet ; à l'étage, trois pièces à feu ; sous les combles, un grenier. Le bâtiment de la mairie est construit contre le pignon ouest de la maison, dans la cour de l'école des garçons, à proximité de la porte d'entrée. L'ensemble est édifié en moellon de schiste avec encadrements de baies, chaînes d'angle et bandeau en brique. [ Sources Services régional de l’inventaire]

1 Résidence de la Fontaine 22220 Pouldouran
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