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Nichée au cœur de la magnifique Lorraine, Velosnes, dans le département de la Meuse, est une invitation à l'évasion et à la découverte. Cette charmante bourgade est idéale pour ceux qui recherchent la tranquillité du rural tout en ayant accès à une richesse d'activités culturelles et naturelles.

Commencez par une balade le long de la rivière Chiers, où vous pourrez admirer des paysages bucoliques...
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Se balader autour de Velosnes

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Sentiers de randonnée dans la région de Velosnes.
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Aux confins de la Gaume
1.3 km

Aux confins de la Gaume

Insolite et pittoresque, la Gaume vous accueille avec ses ruisseaux gazouillants, ses maisons aux façades ocre et aux volets colorés. Cette région, souvent surnommée la "Provence belge", vous réserve des paysages à couper le souffle. - Dégustez un bon verre de vin à Torgny, le cœur de la Provence belge. Torgny, le village le plus méridional de Belgique, est parfait comme point de départ. Il est situé sur une pente et est protégé des vents froids du nord par le massif ardennais environnant. Cela crée un microclimat unique, idéal pour la viticulture. Il y a 3 vignobles : Le Poirier du Loup, Les Fouchères et L'épinette. - Promenade à Torgny jusqu'à la chapelle et l'ermitage et apprenez en plus sur l'historique des ces bâtiments. - Partez à la recherche des casemates de Verneuil-Grand, vestige de la ligne Maginot. André Maginot, le ministre français de la Guerre, a fait construire plus d'une centaine de forts et de bunkers souterrains dans les années 1930. Découvrez pourquoi ce projet colossal s'est avéré inutile. - Promenez-vous dans les rues étroites de la ville de la Renaissance : Marville. - Visitez le lieu le plus insolite de Marville : le cimetière de Saint-Hilaire, surtout connu pour son ossuaire. - Découvrez la puissante citadelle de Montmédy. - Arrêtez-vous au Cinéma Lux à Montmédy, que les Français surnomment "le plus beau cinéma du monde". - Admirez la basilique d'Avioth avec sa Recevresse gothique. Au-dessus de la statue, vous pouvez voir des menottes. Les prisonniers les laissaient derrière eux en signe de gratitude pour leur libération. - Revivez le Moyen-âge à Montquintin. - Voyez le totem indien que les Canadiens ont offert à Virton. - Dégustez de bons plats au coin du feu au restaurant Au Cœur de la Gaume. C'était une brasserie autrefois, puis un relais-taverne pour les chevaux de poste, puis une ferme. Le bâtiment a brûlé 3 fois pour renaître de ses cendres à chaque fois. Claude Peignois en a fait un restaurant en 1987. Vous entrez par la porte de grange remarquablement sculptée. Il y a beaucoup de vieilles assiettes murales en émail et des ustensiles d’antan. Les plats régionaux sont servis autour d'un grand feu ouvert. - Découvrez les installations originales de land art lors d’une petite promenade dans la Vallée de Rabais. - Allez à la rencontre des fées dans la grotte Le Trou des Fées. - Partez à la recherche des conteneurs maritimes au Centre d'art moderne du Luxembourg belge. Le passé et le présent s’y mélangent harmonieusement. Promenez-vous autour des étangs - également appelés la vallée des papillons - et découvrez les conteneurs maritimes, assemblés en forme de "+" par le bureau de design et d'architecture Greisch. - Détendez-vous dans l'ancien ermitage de Wachet, une oasis de paix. - Ne manquez pas le musée Baillet-Latour et la petite église en face. Pour découvrir plus d’offres insolites rendez-vous sur visitwallonia.be/insolite

109 km
Moyen
29 Rue Cavé 6767 Rouvroy
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Balade franco-belge
2.4 km

Balade franco-belge

PR 119 « Balade Franco-Belge » 1 - Dos au parking de l’église, prendre à gauche la rue de l’Eglise. Au calvaire, poursuivre à droite dans la rue du Moulin pendant 1,7 km et arriver à la frontière Franco-Belge. Après 1 km, arriver à Couvreux (Belgique). Au calvaire, prendre à droite rue du Dix-Mai et passer devant une ferme. Après 300 m,  monter à gauche rue du Fauchois, longer l’église et poursuivre à gauche en direction du Panier du Mervaux. Monter à droite rue des Pignons et continuer sur le chemin goudronné pendant  1,2 km. Au T, prendre à droite sur 150 m puis à gauche et entrer en France.  2 - Continuer en direction de Thonne-la-Long par le chemin de Couvreux [ > point de vue sur la plaine et Thonne-la-Long]. Après 1,5 km, entrer dans Thonne-la-Long. Aller à gauche dans la Petite Rue puis après 350 m à droite dans la ruelle des Gendarmes. Longer l’église et arriver rue Grande. 3 - Prendre en face, longer le parc, passer devant le lavoir, suivre le ruisseau. Après la passerelle, poursuivre tout droit sur 130 m puis prendre à droite (bien suivre le balisage). Au T, prendre à gauche puis à la fourche, encore à gauche chemin de Gérouville. Après 360 m, à la sortie du village, se diriger à gauche puis tout de suite à droite. Poursuivre sur 1,7 km jusqu’au fond d’un vallon (bien suivre le balisage) et s’engager à gauche sur un chemin enherbé entre deux bandes cultivées.  Entrer dans le bois par un sentier étroit, le suivre en virant à droite et après 450 m, arriver sur un chemin forestier.  4 - Prendre à gauche sur 2 km, passer devant le cimetière et arriver à Avioth. Prendre à droite  puis encore à droite rue de l’Abbé Delhotel. [ > Basilique Notre-Dame et la Recevresse]. Descendre dans la rue de l’Abbé Jacquemin en-dessous du restaurant La Grange, prendre à gauche et continuer sur la D 110 en direction de Montmédy. Franchir la Thonne.  Au calvaire, quitter la route pour grimper dans la rue Saint-Martin. Après 1,7 km, arriver à une croix, poursuivre à gauche sur 2 km [ > blockhaus] et après une longue descente, atteindre la D 198. 5 - Descendre à Verneuil-Petit, poursuivre dans la Grande Rue, passer devant la mairie puis le lavoir. Franchir le ruisseau de la Naue et après 30 m, quitter la D 198 pour monter à gauche dans le chemin herbeux. Aussitôt après le virage à droite, grimper à gauche pendant 800 m. Au T, prendre à droite [ > Croix des Mascarades] et descendre jusqu’à Verneuil-Grand.  Passer devant le lavoir, continuer dans la rue du Clamard, passer devant la mairie et arriver à la D 981. Descendre en face dans la rue du Berlu par le passage protégé. [ > lavoir]. Prendre à gauche, longer l’église, tourner à gauche pour déboucher sur la D 981. L’emprunter à gauche, traverser sur le passage protégé et prendre en face la rue Rousselle. Après 50 m, aller à droite et tout de suite à gauche pour monter jusqu’au lavoir. Continuer à droite sur 80 m. 6 - À la fourche, monter tout droit pendant 400 m puis bifurquer à droite.  Après 1,5 km, descendre à droite puis à gauche. [ >Point de vue sur Écouviez]. Poursuivre dans la Grande Rue. Après l’église, tourner à gauche et rejoindre le point de départ.

24 km
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Une ferme traditionnelle
1.2 km

Une ferme traditionnelle

Localité typique de la Gaume, Torgny fait partie de la liste des plus beaux villages de Wallonie et détient également la particularité d’être le village le plus méridional de Belgique. Il possède aussi le surnom de petite Provence belge dû au microclimat qui y règne ; Torgny jouit en effet d’une douceur très agréable en été et d’hivers plus cléments que dans le reste de la Wallonie. Torgny s’étend sur le versant sud-ouest d’une vallée creusée par la Chiers, rivière qui a été choisie en 1659 pour marquer la frontière entre le royaume de France et les Pays-Bas espagnols par le traité des Pyrénées. Le cours d’eau fait toujours actuellement office de frontière entre la Belgique et la France. La localité est considérée comme exceptionnelle par la qualité de son architecture, typique de la Lorraine française bien qu’elle se trouve en Lorraine belge. Cette particularité pour un village wallon a largement contribué à sa reconnaissance. On y trouve une quantité non négligeable d’édifices des XVIIIe et XIXe siècles reconnaissables à leur appareil de gros moellons de calcaire bajocien, parfois encore recouverts de badigeons aux couleurs chaudes, dont deux sont protégés par une mesure de classement. C’est le cas de cette ancienne ferme millésimée 1741 au linteau de la porte d’entrée. Celle-ci, d’allure classique, est ornée de pilastres, chapiteaux et d’un linteau bombé. Tout à côté, à droite, une petite éminence appelée cul-de-four indique la présence d’un tel dispositif à l’intérieur. Sur la gauche sont étalées les dépendances peu éclairées. L’ensemble est protégé par une bâtière de tuiles canal, des tuiles qui s’emboitent et permettent une couverture parfaitement étanche. Leur présence constitue une originalité dans la province du Luxembourg où domine majoritairement l’ardoise. Comme bien d’autres maisons du village, le toit possède la particularité d’adopter une pente très faible de maximum 24° de déclivité afin que les tuiles ne glissent pas en cas de grand vent. Classement comme monument le 2 septembre 1992

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L’ancien lavoir public
1.3 km

L’ancien lavoir public

Typiquement rural, le lavoir est l’endroit où l’on vient exclusivement laver son linge. Il participe à la vie courante de la communauté paysanne et occupe une place importante au sein du village ; il était le lieu de rendez-vous des lavandières qui, contrairement à une représentation très répandue, s’y rendaient le plus souvent pour rincer le linge et non le laver. Beaucoup de ces lavoirs n’ont malheureusement pas survécu à l’invention des machines électriques mais plusieurs d’entre eux restent aujourd’hui des témoins d’une époque révolue. L’Ardenne et la Lorraine et leurs villages traditionnels conservent un nombre conséquent de lavoirs. La forte concentration de lavoirs dans la province du Luxembourg a également une explication historique. En effet, en 1866, une épidémie de choléra envahit la province et incite les autorités publiques à prendre des mesures en faveur d’une amélioration de l’hygiène des populations. La construction des lavoirs permet ainsi d’améliorer les conditions de nettoyage du linge, ce dernier étant auparavant lavé dans les rivières, les ruisseaux ou les mares qui étaient également le lieu de nettoyage du matériel agricole. Plusieurs d’entre eux sont aujourd’hui protégés par une mesure de classement. C’est le cas de celui de Torgny, situé sur le haut de la rue Grande. Érigé au XIXe siècle en pierre calcaire, il contient deux bacs de grande dimension, à l’intérieur d’un bâtiment semi-ouvert de plan carré. L’édifice est porté par sept piliers reliés entre eux par des hauts murets et est protégé par une bâtière d’ardoises dotée d’un pignon débordant à l’arrière. Accolé au pilier central de la façade, un ancien calvaire du XVIIIe siècle a été déplacé du pignon arrière, où il se trouvait à l’origine. Sur un haut socle à table profilée, il présente un fût monolithe légèrement trapézoïdal surmonté d’une croix à mouvement d’accolade dans les bras. Il est orné d’un Christ en croix et gravé de l’inscription INRI (Iezus Nazarenus Rex ludaeorum – Jésus le Nazaréen, roi des Juifs). Classement comme monument le 29 avril 1982

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Une ferme traditionnelle
1.3 km

Une ferme traditionnelle

Localité typique de la Gaume, Torgny fait partie de la liste des plus beaux villages de Wallonie et détient également la particularité d’être le village le plus méridional de Belgique. Il possède aussi le surnom de petite Provence belge dû au microclimat qui y règne ; Torgny jouit en effet d’une douceur très agréable en été et d’hivers plus cléments que dans le reste de la Wallonie. Torgny s’étend sur le versant sud-ouest d’une vallée creusée par la Chiers, rivière qui a été choisie en 1659 pour marquer la frontière entre le royaume de France et les Pays-Bas espagnols par le traité des Pyrénées. Le cours d’eau fait toujours actuellement office de frontière entre la Belgique et la France. La localité est considérée comme exceptionnelle par la qualité de son architecture, typique de la Lorraine française bien qu’elle se trouve en Lorraine belge. Cette particularité pour un village wallon a largement contribué à sa reconnaissance. On y trouve une quantité non négligeable d’édifices des XVIIIe et XIXe siècles reconnaissables à leur appareil de gros moellons de calcaire bajocien, parfois encore recouverts de badigeons aux couleurs chaudes, dont deux sont protégés par une mesure de classement. C’est le cas de cette ancienne ferme millésimée 1838 au linteau de la porte du logis. Entièrement crépie et recouverte d’un badigeon rose, elle est précédée d’un usoir, espace libre d’usage privé caractéristique des villages gaumais, où les maisons sont souvent jointives. Fait rare pour la région, les dépendances sont remarquablement importantes et comptaient deux étables, une écurie et deux granges. À gauche, le logis de trois travées est accessible par une porte et éclairé par deux travées de baies. L’ensemble est protégé par une bâtière de tuiles canal, des tuiles qui s’emboitent et permettent une couverture parfaitement étanche. Leur présence constitue une originalité dans la province du Luxembourg où domine majoritairement l’ardoise. Comme bien d’autres maisons du village, le toit possède la particularité d’adopter une pente très faible de maximum 24° de déclivité afin que les tuiles ne glissent pas en cas de grand vent. Classement comme monument le 6 février 1970

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