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Le Mont-Mouchet au départ de Paulhac en Margeride
5.6 km

Le Mont-Mouchet au départ de Paulhac en Margeride

Au cœur de la Margeride, le circuit se déroule à travers bois sur un des hauts lieux français de l’histoire de la Seconde Guerre Mondiale : le Mont-Mouchet, à 1500 m d'altitude, qui fut le théâtre de terribles combats entre la Résistance et les Nazis. D- De l’église de Paulhac en Margeride. Rejoindre la D 989, la couper et prendre, en face, la direction de Broussous et du cimetière. 1- Quitter la route pour un chemin à droite, puis monter, à gauche, par le chemin principal. 50 m après être entré dans une plantation de mélèzes, prendre à droite. A la sortie de la plantation, le chemin devient sentier à travers callunes et épicéas, puis rejoint un autre chemin, que l’on suit à droite en descente. 2- Arrivé à un carrefour de chemins, prendre à droite en direction du ruisseau, puis remonter. 3- Couper la D 989, passer devant la Croix du Fau et s’engager sur la D 23, à droite en direction d’Auvers. 50 m après, la quitter pour le chemin de gauche. 4- Au carrefour de 4 chemins, prendre en face celui qui monte. 5- Traverser la D 123 et continuer sur le chemin en face. 6- S’engager sur le chemin le plus à droite. 7- Au sommet du Mont-Mouchet, suivre le chemin descendant à droite. 8- S’engager dans le chemin de gauche entre forêt (à droite) et prairie (à gauche) jusqu'à la ferme d’Auzenc. 9- Après Auzenc, couper la route et descendre par le chemin à gauche, entre abreuvoir et métier à ferrer (travail). 10- Traverser la D 23 et continuer par le chemin en face, qui s’en va sur la gauche et rejoindre Paulhac en Margeride. A voir : Musée de la Résistance du Mont-Mouchet, et mémorial. Table d’orientation du Mont-Mouchet (1497 m). Statue de Notre-Dame de Beaulieu à Paulhac.

4 h
13 km
Facile
Eglise de Paulhac en Lozère 15320 Clavières
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Randonnée Puech Farrat - Clavières
9.7 km

Randonnée Puech Farrat - Clavières

Clavières, village martyr de la Seconde Guerre Mondiale, est le point de départ de ce circuit d’altitude qui s’élève jusqu’au Puech Farrat, d’où l’on découvre le beau profil du volcan cantalien et les horizons tabulaires de l’Aubrac. Accès au départ : A Clavières. Vaste parking dans un virage après avoir dépassé l’église de Clavières. En chemin, des panneaux d’information renseignent le randonneur sur la nature et l’histoire de ce petit coin de Margeride, où la bête du Gévaudan fit quelques incursions meurtrières. D) Du parking, revenir vers le bourg sur quelques mètres puis monter la première rue à droite. Rejoindre le panneau de départ et continuer en face. 1) Au carrefour de pistes, prolonger en face. Après 100 m, monter à gauche (panneau étape 1 : vue sur Clavières, les monts d’Aubrac, le Viaduc de Garabit et les Monts du Cantal). A la première patte-d’oie (table de pique-nique), prendre à droite. A la suivante, (panneau étape 2 : marécage asséché), poursuivre à gauche en longeant l’ancien marécage (sagne). Laisser un chemin à gauche et poursuivre sur 10 m. 2) Virer à droite. Après 150 m, faire de même et poursuivre en s’élevant légèrement. Au carrefour (panneau étape 3), tourner à gauche. 3) Dans une clairière (panneau étape 4 : table de pique-nique), virer à droite sur un chemin à travers le bois. Passer au sommet du Puech Farrat et rejoindre une stèle (panneau étape 5 : stèle en hommage aux résistants). Continuer à gauche de la stèle et descendre un sentier aménagé avec des marches. 4) Prendre le chemin à droite, dépasser le panneau étape 6. 5) Au carrefour suivant (panneau étape 7 : vue sur Clavières, les monts du Cantal), continuer en face. Laisser un chemin à gauche. Au carrefour à 4 branches, descendre à gauche et regagner le parking. Clavières, village martyr. « Ici commence la France libre », proclamait une banderole que des résistants avaient déployée au-dessus de la route, à l’entrée de Clavières. Une liberté que le village allait payer au prix fort, lors de l’offensive allemande contre le réduit du Mont-Mouchet. Au début de l’année 1944, plusieurs milliers de maquisards se regroupent sur les hauteurs de la Margeride. A la veille du débarquement, il s’agit de constituer une poche de fixation des troupes ennemies qui, le moment venu, retardera leur progression vers le front de Normandie. Informés de la menace, les Allemands ne tardent pas à réagir et, après plusieurs missions de reconnaissance, donnent l’assaut : le 10 juin, 2000 hommes convergent vers le Mont-Mouchet. Montée de Saint-Flour, une colonne composée de SS, de soldats tatars et de miliciens, sème la terreur et la mort dans les villages environnants. A Clavières, où les trois quart des habitations seront détruites, de violents combats se déroulent dans les rues du bourg et près du Rocher des Costes, tenu par la Résistance. 64 FFI tomberont, dans le village, ainsi que de nombreux civils, fusillés par les nazis, pris dans le feu des affrontements ou brûlés vifs dans l’incendie de leur maison. La Bête, du Gévaudan au Cantal La Bête du Gévaudan, qui sévit surtout dans les départements de la Lozère et de la Haute-Loire, a fait aussi plusieurs victimes sur le versant cantalien de la Margeride, principalement dans le canton de Ruynes. Le curé de la paroisse de Lorcières, où l’on dénombra sept victimes, dont trois tuées, a donné une description de la bête qui fait froid dans le dos. « L’animal féroce et vorace, écrit-il, a un corps allongé, […] deux fois plus long qu’un loup ordinaire et beaucoup plus haut […], la gueule énorme, quasi toujours ouverte, avec des dents si meurtrières et si tranchantes, qu’elles séparent en peu de temps la teste d’une personne […], le poitrail beaucoup large, quasi comme celui d’un cheval […]. Lorsqu’il veut s’approcher de sa proie, il va ventre à terre en rampant comme un serpent… »

2 h
5.2 km
Facile
Le bourg, parking du "Pont du Bar" 15320 Clavières
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Randonnée Le chemin des écoliers de Clavières
9.8 km

Randonnée Le chemin des écoliers de Clavières

Cette commune dotée de six écoles est riche de ses chemins et de ses pratiques communautaires. Sur votre chemin des écoliers, vous croiserez celui du facteur et du "caté" du jeudi après-midi. D) Départ de l'école de Clavières, suivre la route départementale en direction du Mont-Mouchet puis prendre un chemin à gauche sur 500 mètres. 1)Suivre le sentier en direction de la Pinatelle toujours tout droit. Traverser la route et prendre le chemin forestier qui descend vers un ruisseau (attention, dénivelé important). Traverser le ruisseau grâce à la passerelle en pierre et suivre le sentier en direction d'Estubertès. Traverser le village puis trouver l'école sur votre droite. 2) Suivre la route en direction de Machot. 3) Traverser le village, puis dans le tournant, prendre à gauche le chemin ascendant qui pénètre dans la forêt de Clavières. Au premier croisement, tourner à droite et suivre le chemin. 4) Laisser les deux chemins sur la gauche, au croisement prendre à gauche pour sortir de la forêt et redescendre sur le village de Clavières. Les Pauses buissonnières D) La commune de Clavières avait, dans la première moitié du XXème siècle six écoles, dont une institution catholique, dans le bourg, appelée communément le "couvent" ! Aujourd'hui, toutes les écoles sont fermées. L'une des survivances des pratiques communautaires de Clavières, c'est le congélateur commun. Ce bâtiment, situé dans le bourg, qui était l'ancien poulailler des sœurs de la Congrégation de Saint-Joseph qui dispensaient l'enseignement dans l'école libre de Clavières, a été, dans les années 1960, aménagé pour abriter un immense congélateur. Celui-ci est divisé en compartiments pour chaque foyer du bourg. Ce congélateur est toujours utilisé par les habitants du village. 1) Arrêtez-vous un instant ! Ce chemin permet aux écoliers d'avoir une vue imprenable sur le massif volcanique des monts du Cantal, sur Saint-Flour et sa cathédrale et sur le plateau de l'Aubrac. Avez-vous repéré le viaduc de Garabit ? 2) Ça y est, on arrive ! Les élèves de Machot, du Drillet, de Masset, d'Estubertès s'assoient sur les bancs de cette école jusqu'en 1983. Elle a conservé sa cloche, son préau et ses latrines. Cette école est mentionnée pour la première fois en 1883 avec une institutrice nommée Jeanne Puech. Le parcours pour arriver jusqu'à Estubertès était parfois très difficile en hiver : les adultes devaient passer devant les enfants pour "faire la trace" dans la neige, car même quand il faisait mauvais temps, on allait à l'école. 3) Dans les villages de Margeride, chaque maison, chaque famille porte un sobriquet que l'on se transmet de génération en génération. Ainsi, à Machot, vous êtes de "chez Barronde", "chez Paniou", "chez Nicoulas", "chez Guillen", "chez le Mounier" (le meunier), "chez l'Estrie" (l'étroit). L'orthographe est approximative car ces sobriquets sont diffusés oralement et leur sens s'est parfois perdu au fil des ans. 4) Le chemin des écoliers n'est pas toujours le même à l'aller et au retour, en hiver ou au printemps ; ainsi les enfants peuvent décider de passer par la route ou par les sous-bois. Ils passent devant "la crouzette", croix dont il ne reste plus que le socle en granite. La forêt qui occupe 55 % du territoire de Clavières est très riche dans sa diversité : hêtre, bouleau, pin sylvestre, sapin pectiné, puis une nouvelle essence, l'épicéa qui est venu dans les années 1970 coloniser les 1 300 hectares du communal de Clavières. Le saviez-vous ? La Résistance Clavières a payé un lourd tribu pendant la Seconde guerre mondiale. la proximité du maquis du Mont-Mouchet, l'un des plus importants de France, a entraîné de violents combats. De nombreux civils furent tués, son maire, ceint de son écharpe tricolore, partit au devant de la colonne allemande, pour essayer de parlementer afin de sauver son village. Il fut porté disparu et son corps n'a jamais été retrouvé. Le bourg, avec son superbe château de la fin du XIXème siècle, et les hameaux environnants, furent incendiés. Soixante-quatre maquisards furent tués dans les environs de Clavières ; douze stèles, quatre monuments et un ossuaire rappellent aux passants les journées tragiques de ce mois de juin 1944.

2 h
7.1 km
Facile
Le bourg 15320 Clavières
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Randonnée La Croix de la paille - Clavières
10 km

Randonnée La Croix de la paille - Clavières

Itinéraire sur chemins et voies forestières, accédant au sommet de la Margeride, en partie en sous-bois avec des passages en lisière. Six panneaux d’information jalonnent le parcours. Sur la route départementale 4, depuis Ruynes en Margeride, prendre la direction de Clavières. A 5km, dans le hameau de La Brugère, prendre à gauche la route communale jusqu'à Masset. Sur l'itinéraire, des panneaux d’information renseignent le randonneur sur la nature et l’histoire de ce petit coin de Margeride, où la bête du Gévaudan fit quelques incursions meurtrières. En option, détour possible jusqu’au rocher Chantal (1 370 m) avec vue exceptionnelle sur l’Aubrac et les Monts du Cantal. Compter une heure supplémentaire. A partir du centre du village de Masset, prendre le chemin montant en bordure camping à la ferme. Ce chemin s’étire sur environ 2,3 km, toujours en montée. Il borde le ruisseau de Sagne-Lestrade (panneaux 1, 2 et 3). En haut du vallon, on rejoint un chemin. Prendre à gauche, puis à 500 m, jonction avec la piste du sommet : prendre à gauche, direction Croix de la Paille. Continuer tout droit. A environ 800 m, sur la gauche, Croix de la Paille (panneau 4). Peu après, prendre direction Masset sur la gauche. Chemin tout en descente, s’enfonçant dans les pinèdes et les hêtraies, sur environ 2,5 km. Détour par le Rocher Chantal : à la bifurcation « Masset », continuer tout droit. A la sortie des bois, prendre à gauche, chemin longeant un pâturage. Avancer jusque sur versant sud, pour le panorama ; revenir en arrière et prendre sur la droite. A environ 1 km, jonction avec le sentier (panneau 5), prendre sur la droite et descendre sur Masset. Les panneaux : P1 : Découverte de la forêt, et des plantations de la forêt sectionnale de Masset ; P2 : La cabane de berger, petit refuge en pierres ; P 3 : Une tourbière sommitale, en partie asséchée naturellement ; P4 : La Croix de la Paille et son histoire ; P5 : histoire géologique de la région, naissance de la Margeride ; P6 : Les évènements de juin 1944 à Masset, belle vue au sud. Au village de Masset, on peut voir l’ancien four à pain du village, là où chaque famille faisait cuire sa fournée une fois par mois.

3 h
8.3 km
Facile
Hameau de Masset 15320 Clavières
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Randonnée Le Chemin des écoliers de Lorcières
11 km

Randonnée Le Chemin des écoliers de Lorcières

Promenons-nous dans les bois, tant que le loup n’y est pas… Les écoliers de Lorcières ont dû fredonner cette ritournelle en pensant à une certaine bête du Gévaudan dont le curé de l’église de Lorcières témoigne de ses méfaits à la fin du XVIIIème siècle. D) Départ de la salle polyvalente de Lorcières. Prendre la direction du village. Au carrefour, prendre à gauche, traverser le village, passer devant l’église. 1) Après l’école, continuer sur un chemin ascendant, puis descendant vers un ruisseau ; Traverser le ruisseau des bois ; 50 m après, prendre le chemin à gauche : il monte en forêt, passe devant la croix de fer et continue à monter pour rejoindre, 100 m après la forêt, la D 504 sur la droite. Ne pas emprunter la D 504 mais continuer sur un chemin à droite, parallèlement à la route, sur 300 m. 2) Laisser la route qui mène à Marcillac et poursuivre sur un chemin à droite. 100 m après, bifurquer à droite, puis descendre tout droit en laissant le chemin sur la gauche. Au croisement, prendre à gauche toujours en descendant, puis encore à gauche au croisement suivant pour atteindre le ruisseau. Traverser le ruisseau du Bousquet. 3) Tourner à droite en bordure de pré. Emprunter la D 50, à droite, sur 150 m et s’engager à droite sur un chemin : il descend en longeant la route puis, à travers bois, se dirige vers Lorcières. Tourner à gauche sur la route puis à droite pour passer sur le pont et rejoindre le point de départ. Les Pauses buissonnières D) Le bourg de Lorcières abrite deux écoles, l’une pour les garçons, l’autre pour les filles. Elles sont aujourd’hui fermées. L’une d’entre elles est utilisée par la mairie. L’autre a connu sa dernière rentrée en septembre 2000 bien qu’il y ait eu un regroupement pédagogique avec l’école maternelle de Prat-Long à Chaliers. Pour aller à cette école, on passe devant l’église de Lorcières, tout en granite avec un beau clocher à peigne. 1) Lorsque l’on se dirige vers l’école du village de Marcillac, on traverse notamment des bois de hêtres ou fayards. Le feuillage de ces arbres, au tronc argenté est marcescent (il se flétrit sur la plante sans se détacher). Les feuilles du hêtre finissent par tomber et forment un tapis moelleux sur lequel on peut s’amuser mais elles peuvent aussi être utilisées pour réaliser des matelas confortables pour les fermes de Margeride, jusque dans les années 1950. 2) Les élèves de l’école mixte, à classe unique de Marcillac (fermée en 1972), rencontrent fréquemment dans les années 1960, le berger du village avec ses moutons. Les brebis, qui sont des Blanches du Massif Central, sont élevées pour leur viande. Auparavant, leur laine était transformée en tissu et leurs excréments servaient à fertiliser les terres cultivées. Les derniers bergers communaux de Margeride ont cessé leur activité à la fin des années 1970. L’école de Marcillac est l’un des « postes nobles » du Cantal ; les instituteurs utilisaient ce terme, un brin ironique, pour les écoles isolées avec peu d’élèves, dans lesquelles ils faisaient leurs armes au début de leur carrière au service de l’Instruction publique. 3) Le curé de la paroisse de Lorcières fait la relation d’une attaque par la Bête du Gévaudan d’une jeune fille d’environ 18 ans, Marguerite Bony qui gardait ses bêtes dans un pré appartenant aux habitants du village de Marcillac. Elle fut attaquée et renversée par la Bête le 26 mai 1765. Elle ne dût sa survie qu’à son compagnon, Pierre Tanavelle, jeune garçon d’environ 16 ans, qui, n’écoutant que son courage, réussit à la mettre en fuite. Le saviez-vous ? La Bête du Gévaudan Entre 1764 et 1767, une bête féroce tua, blessa et attaqua 157 personnes, uniquement des femmes et des enfants en Margeride, et notamment dans la paroisse de Lorcières. Malgré des battues, l’envoi de dragons sous le commandement du capitaine Duhamel, la venue d’un fameux chasseur de loups, M. Denneval, puis du propre lieutenant des chasses du roi Louis XV, Antoine de Beauterne et un mandement de l’Evêque du Diocèse de Mende, Monseigneur de Choiseul Beaupré, la Bête du Gévaudan pu perpétrer ses méfaits durant trois longues années avant que Jean Chastel ne l’abatte à la Sagne d’Auvers, en Haute-Loire le 19 juin 1767. Au fait, qu’a-t-il tué ? Est-ce un loup, un chien dressé… ? Le débat reste ouvert.

3 h
7.5 km
Moyen
Bourg de Lorcières 15320 Lorcières
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Randonnée Le Chemin des écoliers de Védrines Saint-Loup
12 km

Randonnée Le Chemin des écoliers de Védrines Saint-Loup

L’école de Védrines Saint-Loup surplombe la forêt de Margeride qui est la principale richesse de la commune depuis fort longtemps. Ce chemin des écoliers vous montrera les rapports étroits qui animent la forêt et les habitants du village. D. Départ du parking devant l'ancienne école qui est aujourd'hui la mairie. Descendre sur la D 901, traverser la D 990 en direction du moulin de Loubat, sur la route qui est située en face. 1. Continuer sur la D 901 sur 300 mètres, prendre le chemin à droite qui part dans la forêt. Suivre le chemin sur 1 Km jusqu'à proximité du bâtiment de la Salesse au bord du ruisseau de Lergne 2. Suivre le chemin jusqu'à la route, tourner à gauche sur la route puis encore à gauche prendre le chemin des étangs en direction de la ferme de la Margeride. 3. Après la ferme, traverser une route et s'engager en face dans un chemin au milieu des prés. Dès l'entrée dans la forêt, prendre à gauche le chemin descendant. 4. Déboucher sur la route qui relie Védrines-Saint-Loup à Longesaigne. L'emprunter à gauche sur 300 m. La quitter pour un chemin à droite, qui rejoint la route au moulin de Loubat puis la reprendre sur la droite. Traverser la D 990 pour arriver au point de départ. Les pauses buissonnières D. La vaste école de Védrines-Saint-Loup accueillait dans ses deux classes les enfants du bourg et des villages environnants (Longesaigne, Le Mut, Védrinette, La Fage...). La cour de récréation n'est plus animée par les cris et les galopades des élèves depuis que l'école a fermé ses portes en 2000. Non loin de là, sur la place du bourg, l'église romane dédiée à saint Loup, bien que remaniée, mérite le détour ; c'est l'une des plus anciennes de la région. 1. En partant de l'école, les enfants de la « montagne » passent devant le moulin de Loubat ou Loubet situé sur le ruisseau de Lergne. Ce moulin « à scie » et « à bled » est attesté dès 1685 : la force hydraulique permettait d'actionner des meules destinées à produire de la farine et une scie pour couper le bois de la Margeride. De nombreux moulins étaient installés sur les cours d'eau de Védrines-Saint-Loup. 2. En plein cœur de la forêt, les enfants jouent autour de « l'arbre fourchu » : c'est un sapin pectiné extraordinaire avec ses quatre branches verticales. Un peu plus loin, le bâtiment de la ferme de la Salesse, aujourd'hui, en ruines était une « usine » destinée au travail de laine (nettoyage, cardage...) à la fin du XIXe siècle puis a servi de résidence à des bûcherons italiens au début du XXe siècle. 3. La ferme de la Margeride d'où partent les enfants pour aller à l'école est située sur l'emplacement d'un château qui appartenait aux seigneurs du même nom puis successivement aux familles des Talhac, des Apchier et de La Tour d'Auvergne. Cette vaste propriété forestière qui abrite de très beaux étangs donna son nom vraisemblablement au XVIIIe siècle à l'ensemble du massif qui court du plateau du palais du Roi en Lozère aux environs du col de la Fageole. 4. La croisée des chemins est l'occasion de rencontres entre les enfants de Longesaigne et ceux de la Margeride, ce qui pouvait donner lieu quelquefois à des bagarres homériques. Dans la forêt, vous pouvez vous adonner à une activité beaucoup plus paisible : observer sous les hêtres et les sapins pectinés des plantes telles que l'épervière des bois, le compagnon rouge ou le bugle rampant pour ne citer qu'eux. Le saviez-vous ? La manufacture royale de la Margeride Des sols granitiques riches en quartz nécessaire pour la silice, de la potasse, provenant de la combustion de fougères, la présence de vastes forêts pour alimenter les fours, une rivière navigable, l'Allier située non loin de là, explique la présence d'une activité verrière à Védrines-Saint-Loup. Cette production attestée au XVe siècle a connu son apogée au XVIIIe siècle avec la création d'une manufacture royale en 1769, avant de disparaître en 1834.

2 h
5 km
Facile
Bourg de Védrines Saint-Loup 15100 Védrines-Saint-Loup
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Randonnée La Forêt de la Margeride - Védrines Saint-Loup
12 km

Randonnée La Forêt de la Margeride - Védrines Saint-Loup

Une longue boucle à travers le plateau qui porte Védrines-Saint-Loup et l’antique forêt de la Margeride, qui donna du bois aux verriers pour chauffer leurs fours et des mâts à la « Royale ». Le circuit nous conduit au Signal d’où se découvre un panorama. Départ - Entre le cimetière et le terrain de sport de Védrines-Saint-Loup. Longer le terrain par un chemin débouchant bientôt sur une route. Continuer tout droit jusqu’au hameau de La Fage. 1. À l’entrée de La Fage, après avoir laissé une maison sur la gauche, quitter la route pour s’engager sur le chemin de gauche qui, après 30 m environ, coupe une route. La traverser et prendre le chemin en face. Dès l’entrée dans le bois, prendre le chemin sur la gauche. Arriver sur une route. La suivre sur 150 m pour atteindre un carrefour. 2. Traverser la D 990 et continuer en face sur la route du Gay. 3. Quitter la route au niveau du château d’eau pour le chemin qui passe devant, à gauche de ce dernier. Traverser un ru et tourner immédiatement à gauche ; 100 m plus loin, prendre deux fois à gauche. Traverser un ru et continuer le sentier montant dans la forêt. Celui-ci débouche sur un chemin sans dénivelé ; l’emprunter sur la gauche pour descendre doucement. 4. A l’orée de la forêt, prendre à droite le sentier ascendant. 100 m après, quitter le sentier principal pour un sentier à gauche à faible dénivelé, qui rejoint un chemin montant dans lequel on s’engage à droite. 5. Arriver à un croisement où l’on note la présence d’une pierre plantée. Prendre le sentier sur la gauche. Sortir de la forêt pour atteindre le Signal, puis descendre vers le col du Signal. 6. Au col, quitter le chemin de crête pour virer à gauche. Le chemin traverse les bruyères, et, après 500 m, entre dans une forêt de sapins en descendant fortement. Poursuivre tout droit pour rejoindre une large piste ballastée. Passer à gauche de la ferme de La Margeride. 7. Après la ferme, traverser une route et s’engager en face dans un chemin au milieu des prés. Dès l’entrée dans la forêt, prendre à gauche le chemin descendant. 8. Déboucher sur la route qui relie Védrines-Saint-Loup à Longesaigne. L’emprunter à gauche sur 300 m. La quitter pour un chemin à droite, qui la rejoint au Moulin de Loubat, puis la reprendre sur la droite. Traverser la D 990 et entrer dans Védrines-Saint-Loup. Dans le village, prendre la première rue à gauche et regagner le point de départ. Voir et savoir Entre 3 et 4, panorama du Signal sur les villages de Védrines-Saint-Loup puis Chastels au nord-est, les Monts du Devès et la Haute-Margeride à l’est, Ruynes en Margeride, les Monts d’Aubrac et les Gorges de la Truyère et du Bès au sud-ouest et, enfin, les Monts du Cantal à l’ouest. Pierre plantée en 5. Croix en granite au Signal. Circuit en grande partie boisé.

4 h
12 km
Moyen
Stade de football 15100 Védrines-Saint-Loup
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PR009 Les abbayes de Chanteuges et Pébrac
13 km

PR009 Les abbayes de Chanteuges et Pébrac

Au cours de cette longue marche au cœur de la vallée sauvage de la Desges, découvrez les vestiges de l’exploitation minière et les sites emblématiques de Chanteuges et Pébrac. Traverser la voie ferrée et tourner à droite. De suite, à la fourche, monter à gauche. À Ferry, traverser la route et prendre un sentier en face. À Fromenty, tourner à droite et suivre la route passant à gauche de la fontaine. Près d’un bâtiment agricole, descendre sur un large chemin à main gauche. Au croisement, poursuivre la descente tout droit sur une route. Avant le pont, virer à gauche (jonction GRP®). Plus loin, passer sur un pont et continuer tout droit. Ignorer un chemin à gauche et, un peu plus loin, continuer la montée tout droit. Au carrefour, près d’une maison, aller en face sur un large chemin. Peu après, prendre à main gauche. À la croix de fer, descendre tout droit en forêt par le chemin principal. Plus bas, continuer de descendre à gauche. La pente se fait plus douce ; poursuivre la descente. Longer la Desges. Après le moulin, passer sur le pont. Aller à droite, puis grimper à gauche. Rejoindre une route. L’emprunter à droite. À l’entrée de Pébrac, virer à gauche [> à droite, accès à Pébrac et à l’abbaye : aller-retour 10 min]. Le chemin suit le relief en dominant la vallée. Emprunter une route à droite sur 50 m et bifurquer à gauche sur un sentier. Virer à gauche et atteindre une route. La prendre à droite, puis tourner  à gauche vers Lair. Passer un carrefour, puis tourner à droite. Aller à gauche entre deux maisons et grimper sur un chemin pour s’éloigner du village. Traverser Chirac en droite ligne, puis suivre la route jusqu’aux maisons de la Combe. Continuer encore sur la route qui passe près d’une antenne puis redescend. Virer à droite pour longer une forêt. Plus bas poursuivre la descente à gauche. Le chemin devient route. À l’approche de Tavernat, tourner à gauche sur un chemin entre deux champs. À la fourche, prendre à droite, puis descendre jusqu’à la route. L’emprunter à gauche sur 60 m et s’engager sur un large chemin à gauche. Longer la Desges jusqu’au départ.

6 h
19 km
Facile
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Que faire à Auvers

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Planifiez une journée parfaite à Auvers avec nos activités réservables.
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La Ferme du Verdier
44 km

La Ferme du Verdier

La Ferme du Verdier, d’une surface de 2 ha plus quelques estives locatives, se situe au contrefort de l’Aubrac, non loin de la Truyère, de ses gorges et de son lac. Nous élevons des animaux : chevaux, ânes... Accueil camping car "France Passion" Nous sommes des ouvriers ruraux et accueillants agricoles, désireux de partager notre mode de vie autour de la ferme, de la moyenne montagne, de notre quotidien... Nous avons organisé notre petite ferme en polyculture-élevage telle que les fermes existaient il y a encore 50 ans. Ici, pas de grosse production avec un troupeau important ou une monoculture sur une grande surface, mais beaucoup de petites productions pour notre consommation et celle des personnes accueillies. La Ferme du Verdier, d’une surface de 2 ha plus quelques estives locatives, se situe au contrefort de l’Aubrac, non loin de la Truyère, de ses gorges et de son lac. Dans notre ferme, nous cultivons des légumes, des fruits pour l’autoconsommation et des pommes de terre, pour nourrir les volailles principalement. Nous élevons des animaux : une partie de la prairie et des estives locatives sert donc à nourrir les autres animaux chevaux, ânes , génisse Aubrac... Venez passer une journée dans une ferme où l’on vit à la mesure du temps. Le programme d’une journée est axé principalement sur la ferme, les animaux et les vieux métiers agricoles avec des activités autour de la ferme et de sa vie en autarcie. Le contact avec les animaux est privilégié. Nous vous ferons découvrir l’Aubrac au travers de vieux métiers, de la découverte de la flore ; de la faune, de ses paysages si typiques, de ses traditions et de ses goûts parfois oubliés dans la nuit des temps. Activités : fabrication du pain, de la farine, du beurre, du fromage, travail du cuir, du fer, de la ficelle, de la laine, création d’un couteau : le Capujadou, travail du bois, élaboration d’un objet en rotin, balades avec des ânes en journée et en nocturne, promenade familiale en calèche, goûter à la ferme, découverte des animaux. Ouvert d’avril à octobre et sur rendez-vous.

Le Verdier 15110 Lieutadès
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Parc animalier d'Auvergne
50 km

Parc animalier d'Auvergne

Le Parc Animalier d’Auvergne est une réserve unique pour les espèces rares et menacées, qui se distingue au niveau européen. Sur 45 ha, vous êtes sensibilisés à la biodiversité et découvrez près de 350 animaux rares et menacés de 60 espèces différentes. Venez rencontrer panthères des neiges, pandas roux, gloutons, tigres, panthères de l'Amour, takins, ours noirs du Tibet, girafes de Rothschild, zèbres de Hartmann, primates, paresseux à deux doigts, dhole, hippopotames pygmées, guépards et, plus largement, 350 animaux rares et menacés ! Le Parc est implanté dans un site naturel exceptionnel, où vous pouvez admirer de nombreuses vues incroyables sur le Cézallier et découvrir les différentes actions mises en place pour le bien-être animal et la conservation des espèces, tout en visitant un site qui prouve sa différence à l'échelle européenne. En effet, le Parc Animalier d'Auvergne se distingue sur de nombreux aspects : il s’agit du parc européen le plus impliqué pour la conservation des espèces rares et menacées, avec plus de 80% des espèces hébergées faisant partie d’un programme de reproduction européen. Premier parc à héberger des cerfs de Thorold, il propose également le plus grand enclos d'Europe pour les panthères de l'Amour. Il est à l’origine de la création de Science Nature, une association dédiée à l’éthologie et de Biodiv’Educ, une autre association visant l'apprentissage de la biodiversité via les nouvelles technologies. Des enclos de mixité inédits et une grande diversité d'activités immersives permettent de se familiariser avec les animaux (safari famille, rencontre privilège, stage vacances...). A découvrir absolument ! Nouveauté 2024 Explorez les coulisses de la cuisine animalière, observez les girafes dans leur bâtiment grâce à une nouvelle passerelle, entrez dans l’enclos des cerfs Sikas du Vietnam, profitez d’une nouvelle aire de jeu installée au milieu du Parc, observez les binturongs, cerfs huppés et écureuils de Prévost évoluer dans leur nouvel enclos de mixité, rencontrez de nouveaux individus arrivés cette année au Parc pour mieux les connaître et les protéger. Enfin, faites l’expérience de la réalité virtuelle dans notre Centre de la conservation ouvert ce printemps, pour découvrir le milieu naturel des animaux ! Une approche 100% immersive et ludique ! Situé à Ardes-sur-Couze dans le Puy-de-Dôme, le Parc est à seulement 45 min de Clermont-Ferrand et de Besse/St Nectaire/Murol et à 15 min des sorties 15 et 17 de l’A75, près d’Issoire. Il a reçu pour la 4ème année consécutive le certificat d’excellence TripAdvisor. Il a également obtenu le label Qualité Tourisme et est étoilé dans le guide Michelin Auvergne mais aussi Le Petit Futé. Entreprise à mission, il a reçu deux trophées pour son engagement concret en faveur de l'environnement en 2023 et a rejoint le programme "Entreprise engagée pour la nature".

route d'Anzat-le-Luguet 63420 Ardes
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La Passerelle
23 km

La Passerelle

Je vous accueille dans ma ferme en Lozère baptisée « La Passerelle » à côté de Grandrieu dans le petit village de Verrières afin que vous puissiez vous accorder une pause. Je veux que La Passerelle soit la porte ouverte vers un mieux-être, un épanouissement, un moment pour soi. Des ateliers sont proposés à la journée ou à la demi-journée autour de différents thèmes dont l’unique objectif est de prendre soin de soi et de se faire plaisir. Les stages ou formations restent dans le même esprit, ils s’étalent sur plusieurs jours et permettent aux participants de profiter d’un environnement sain, propice à la détente, à la déconnexion totale de leur univers habituel. Le séjour à la ferme : une pause dans votre quotidien qui vous permettra de relativiser les choses, de prendre du recul, de prendre conscience qu’il faut peu de chose pour être heureux. Je vous accueille dans ma ferme en Lozère à côté de Grandrieu dans le petit village de Verrières afin que vous puissiez vous accorder une pause. En toute simplicité, je vous reçois dans des chambres à deux couchages avec une salle de bain disponible pour 6 personnes. Les chambres ont un accès direct sur la terrasse et le parc dans lequel évolue Chaman le lama avec un ou deux potes sur lesquels il veille avec bienveillance. Le matin, petit déjeuner complet avec aussi bien du salé que du sucré et surtout des produits locaux, sains qui valorisent un territoire, un producteur. Vous pourrez vous installer à la table commune, profitez de l’espace extérieur ou bien prendre votre petit-déjeuner à la terrasse de votre chambre pour un peu d’intimité. Volontairement il n’y a pas de télévision préférant la possibilité de lire ou d’échanger. La Passerelle pour une reconnexion à la nature, à l’essentiel, à soi. Nous contacter : 07 52 02 38 37 Site web : www.lapasserelle48.fr/ https://www.accueil-paysan-occitanie.com/structure/la-passerelle/

Verrieres 48600 SAINT-SYMPHORIEN
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Prudence !
Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾