100 km de rencontres

Le Relais du visiteur a pour mission d’assurer la promotion, la mise en réseau des opérateurs et le développement des différents axes touristiques du Pays des 4 Bras. C’est avant tout un lieu d’accueil, ouvert à tous les curieux et aux amateurs de produits locaux. GAL Pays des 4 Bras - Genappe, Les Bons Villers, Villers-la-Ville

Issus de familles d’agriculteurs et ayant la passion du potager transmise par nos mères et grand-mères, c’est en 2017 qu'Hélène et Didier se lancent dans la folle aventure du Potager des Hasquettes. Vous y trouverez fruits et légumes cultivés en agriculture raisonnée. Vente directe sur le lieu de récolte. Possibilité de passer des commandes par mail: leshasquettes.be/

L'église actuelle a été reconstruite en 1760 par l'abbaye d'Afflighem sur les ruines de l'ancienne église dont il ne restait plus que le chœur et le transept (XVIIe). L’église est ornée de belles boiseries du XVIIIe siècle et de sculpture du XVIe, On y retrouve également un reliquaire de Saint Jean-Baptiste, dont la tête, placée sur un plat, date du XVIIIe siècle. Les vitraux, de style naïf, ont été réalisés entre 1986 à 1994, d'après les dessins de l'abbé Stevens. Dans l'enceinte de l'ancien cimetière, se dresse une réplique de la grotte de Lourdes de Massabielle à Lourdes. Construite en 1932, des mariages y étaient jadis célébrés.

Habitation à double corps, construite en 1758 par l'Abbaye d'Afflighem. On peut admirer dans la cour une Vierge du sculpteur belge Philippe Denis (1912-1978). Le portail d’entrée porte le millésime 1759.

A l'Avenue Eugène Philippe 1A se trouve le Cercle d'Histoire et d'Archéologie du Pays de Genappe, installé dans l’ancienne école communale de Glabais fermée en 1975. Les objectifs du cercle sont la recherche, le classement et la conservation d'archives, de manuscrits, d’objets témoins du passé... La Maison de l’Histoire et du Patrimoine est ouverte le mardi matin et le samedi sur rendez-vous. www.genappehistoire.be 

Construit au XVIIIe siècle, il abrita quelques temps les cisterciennes d’Aywières, chassées de leur abbaye en 1796 par les Français (il portait alors le nom de Montplaisir ou Jolimont). Il appartint ensuite à Pierre de Turck, avocat, dont les habitants du village utilisèrent les compétences lors d’un important procès. De ceci, en découle le sobriquet donné aux Glabaisiens : les Trucs. C’est là qu’est aujourd’hui établi le Domaine de Glabais, vignoble créé en 2016 où sont produits des vins pétillants.

Créé en 2016, le Domaine de Glabais est un vignoble né de la passion d’un couple : Anne et Christian Balduyck-Geldhof. Après avoir travaillé quelques années au vignoble de Villers-la-Vigne, le couple souhaite se lancer dans l’aventure et cherche des terres pour planter leur propre vignoble. Souhaitant d’abord s’installer dans le Languedoc, c’est finalement à Glabais, sur les terres familiales, qu’Anne et Christian plantent leurs premiers ceps. Il en découle deux cuvées de vins pétillants, l’une 100% Chardonnay, l’autre est un assemblage de Chardonnay, pinot blanc et auxerois. Possibilité de dégustations et achats au domaine.

Elle était déjà citée en 1180. Les bâtiments actuels furent construits par l'Abbaye de Villers-la-Ville en 1780. Après des travaux de rénovation, la ferme de Glabjoux a été transformée en golf. Notez que le restaurant du golf, L’Art des Sens, est ouvert à tous. Située en face de la ferme de Glabjoux, la chapelle Notre-Dame de Lourdes fut construite en 1940 en remerciement d’avoir échappé aux désastres de la guerre. Derrière cette chapelle, se trouvait un hameau, avec cimetière et chapelle romane, abandonné à la suite d’une épidémie de choléra en 1860.

Ce château est une ancienne demeure seigneuriale du XVe siècle qui comprenait un château et une ferme. Le château fût réaménagé à plusieurs reprises au cours de l'histoire. Aujourd'hui ne sont plus visible que la bâtisse primitive, le pavillon de chasse et les annexes.

Chocolaterie artisanale et familiale créée en 1971 par Robert Matheys et dont Odette et ses enfants Marie et Dominique perpétuent aujourd’hui la passion du chocolat, le savoir-faire, la qualité gustative des produits et ce, de la fabrication dans leur atelier à la vente dans leur boutique. Animés par la passion du goût, les méthodes de production artisanale sont essentiellement manuelles de la matière brute jusqu’au produit fini. Synonyme de qualité et de fraîcheur, l'équipe de la Cabosse d'or fabrique chaque jour et en petites quantités, ce qui ravira les papilles des plus petits et des plus grands. La Cabosse d’Or est reprise dans le guide Gault&Millau depuis 2019 !

Très belle vue sur Thy et Bousval !

Le château de Pallandt à Bousval, occupé par la seigneurie de Wez au XVe siècle, fut l'une des six seigneuries de Bousval. Il doit son nom à la famille qui en fut propriétaire entre 1742 et 1783. Ce château privé est situé au milieu d’une forêt de plus de 100 ha avec un parc à l’anglaise aux arbres plusieurs fois centenaires. Il appartient à la famille d'Hooghvorst depuis plus de 3 siècles. Plusieurs fois démoli et reconstruit, le bâtiment actuel a connu de profonde transformation au début du XXe siècle. Les propriétaires actuels, le Baron et de la Baronne d'Hooghvorst, y proposent des chambres d'hôtes.

Dynamisme et agriculture locale, les deux maîtres-mots que nous pourrions aussi associer à Marie et Jérémy Vermeiren de la Ferme de la Distillerie à Bousval. Ce couple pratique une agriculture durable, locale et de saison, tout en ayant un impact minimum sur l’environnement. Ils proposent des légumes sains et savoureux en vente direct !

Dans son petit atelier au cœur de la Ferme de la Distillerie à Bousval, le Tartisan vous prépare des pains au levain et des pâtisseries variées. Vous les retrouverez à côté des légumes de Marie et Jérémy. Venez les découvrir sans plus attendre! Ouvert: mardi et vendredi de 10h à 18h, samedi de 10h à 16h. www.le-tartisan.be

L'Arche est un centre d'hébergement et de revalidation pour animaux indigènes et exotiques. Ours, lion, tigres, chacun des animaux de ce refuge a une histoire à raconter.

L'église Saint-Barthélemy domine la place du village de Bousval. De son origine romane, elle ne conserve qu'un avant-corps en moellons. Elle fut ensuite rebâtie en style classique en 1761, puis en style néo-classique en 1857 par l'architecte Émile Coulon. L'église Saint-Barthélemy abrite un important patrimoine composé de fonts baptismaux de 1555, de tombes seigneuriales du 17e siècle et du char de Saint Barthélemy. L'histoire de Bousval est dominée par la figure de Thierry Le Jeune (...-1638), un officier wallon de l'armée de l'archiduc Albert d'Autriche. Après avoir sauvé l'archiduc de la mort lors d'une bataille en 1600 contre l'armée hollandaise près de Nieuport, il est récompensé de 2400 livre et s'installe à Bousval, où il devient seigneur de la Baillerie. Aujourd'hui, l'église Saint-Barthélemy abrite la dalle funéraire de Thierry Le Jeune et de sa famille. Saviez-vous que la paroisse de Bousval fait partie des quatre paroisse en Wallonie où subsiste une procession avec un char tiré par des chevaux de trait? Chaque dernier dimanche du mois d'août, a lieu le Tour de Saint Barthélemy. La statue du Saint est placée sur un ancien char en bois tiré par des chevaux de trait. Le char est abrité dans l'église même.

Ancienne basse-cour du Château de Bousval, cette ferme est gérée depuis 1954 par la famille Vermeiren. Au début des années 80, Marie-Jeanne Lories l’épouse d’Herman Vermeiren se lance dans la fabrication de produits laitiers. Quelques années plus tard elle diversifie son activité via les fermes pédagogiques. La ferme est ouverte tous les jours sauf le dimanche après-midi. Un petit magasin propose ses produits artisanaux: glace, beurre, fromage, crème fraîche, lait, yaourt, confiture, galette, fraises et tomates en saison. Les plus petits se feront une joie de découvrir les différents animaux. Rue Haute, 44 1470 Bousval +32 474 71 81 48 www.fermedebousval.be/

Cette belle chapelle datant de 1608 est dédiée à Notre Dame de Hault (Hal). Les fonds nécessaires à sa construction furent apportés par Thierry le Jeune, seigneur de la Baillerie, reconnaissant d’avoir échappé plusieurs fois à la mort. Dans les deux niches au-dessus de la porte, on retrouve une statue de la Vierge et une statue d’un homme muni d’une lance qui porte une croix sur épaule gauche. Aujourd’hui encore, le lundi de la Pentecôte une messe y est célébrée en présence de l’ancienne statue conservée dans le chœur de l’église de Bousval. www.youtube.com/watch?v=y4ja0qgduyw

Ancienne seigneurie de Bousval qui, en 1413, appartenait à Gérard de la Baillerie. Au début du 17e siècle, elle est rachetée par Thierry Le Jeune, un capitaine des gardes wallonnes qui participe aux guerres de religion opposant les Espagnols catholiques aux Hollandais réformés. Après avoir sauvé l'archiduc Albert d'Autriche lors de la bataille de Nieuport, Thierry Le Jeune est récompensé de 2400 livres. Grâce à cette somme, il rachète la propriété de la Baillerie, confisqué à ses anciens propriétaires protestant. Depuis 2007, la ferme de la Baillerie est une coopérative d’agriculteurs qui réalisent l’élevage de chèvres, la production de leurs fourrages, la transformation fromagère et la vente directe, respectant des pratiques d’agriculture durable. Production de produits laitiers à base de lait de chèvre : fromages affinés, crottins, fromages frais et yaourts. Leurs produits sont commercialisés sur 4 marchés hebdomadaires régionaux (Mercredi: Ixelles ; Vendredi: Ottignies ; Samedi: Nivelles; Dimanche: Waterloo), à la ferme, dans quelques épiceries locales et restaurants.

Le Vignoble et le chai +32 6 755 07 20 info@chateaudebousval.be

Le château de Bousval a été construit en 1617, sur les ruines de l'ancien château, dont subsiste uniquement la tour de 1567. En 1626, la seigneurie est acquise par le comte Philippe Vander Stegen, dont les armoiries ornent l'avant-corps de l'église de Bousval. La famille Vander Stegen en reste propriétaire durant presque un siècle et y rattache les seigneuries voisine de Bordeau, de la Baillerie ainsi que les terres de Laloux. A la mort de ses trois frères, Isabelle Vander Stegen, seule héritière du domaine, rentre dans les ordres à l’abbaye de Juvigny (France) jusqu'à sa mort en 1847. Ses biens deviennent alors la propriété de son parent, le comte Philippe-Marie-Henri Vander Stegen de Putte. Au 19e siècle, le château va subir de nombreuses transformation. En 1871, la construction de la ligne de chemin de fer (aujourd'hui transformé en RAVeL) entame quelque peu les terres du château. En 1879, une des premières serres de Belgique y fut construite. M. Adolphe Delhaize, qui rachète le château en 1886, aménage une cave frigorifique dans le parc et érige un mur d'enceinte, d’une longueur totale de 1.400 m. La glacière est utilisée pour la conservation de la viande livrée une fois par semaine par le boucher de Genappe. Fait mémorable, en 1897, M. Adolphe Delhaize, le premier à Bousval, acquiert une automobile belge de la marque « Germain ». Cette évènement, or du commune pour l'époque, attire plus de 500 curieux dans la cour du château!

Saviez-vous que jusqu’il y a peu on pouvait boire de l’eau en bouteille 100% local ? La population obtient les droits d’usage de la source Saint-Barthélemy dès 1874. Très vite, elle s’avère avoir des vertus curatives. Elle serait bénéfique aux personnes souffrantes : d’affection intestinales, de maladies de la peau, d’arthrite, de rhumatisme et de problème cardiaque. La source est alors également souvent visitée par les forgerons qui travaillent dans en contrebas de la rue. L’eau de Bousval est mise en bouteilles dès 1909 et les bouteilles étiquetées « Eaux de Bousval » se retrouvent rapidement sur les tables belges. Après une première faillite, la production s’améliore et se modernise. On remplace les lourdes caisses de bouteilles, callées avec des copeaux de bois, par des casiers plus légers, plus pratiques. Dans les années 60, « les sources de Bousval » sont cédées à une célèbre multinationale qui en arrête l’exploitation en 1970.

Lorsqu'on se promène à Bousval, il est difficile de ne pas apercevoir les cocottes de Marie et Nicolas qui se promènent dans la prairie en contrebas de l’avenue des combattants. Grâce à leurs poulaillers mobiles les poules profitent de deux parcelles de 75 ares pour grignoter, gambader et se dégourdir les gambettes ! Marie et Nicolas proposent non seulement des œufs frais à la vente, mais également d'excellentes pâtes ! Ventre de produit de ferme du lundi au vendredi de 11h à 19h, le samedi de 11h à 13h.

Celui-ci formait, au XVIIe siècle, un carré et était entouré de douves. Le château eut ensuite à subir d'importantes transformations et celui-ci, tel que nous pouvons le voir aujourd'hui, date de la fin du XVIIIe siècle. De construction classique, il présente un plan en forme de "L". A front de rue, se situent les anciens bâtiments communs avec deux tours dont l'une date du 1615 ; le portail, lui, date de 1774.

Ancienne maison communale de Ways, avant la fusion des communes en 1977.

L'église Saint-Martin aurait peut-être déjà existé au VIIIe siècle. L'édifice actuel, monument classé, a été reconstruit en 1767 mais a conservé quelques soubassements plus anciens. Vous pourrez remarquer plusieurs pierres tombales du XVIIe et XVIIIe siècles qui proviennent de l'ancienne église. Dans le chœur, vous trouverez des stalles et bancs Louis XV surmontés des armoiries des seigneurs qui y avaient leur place réservée. A signaler également un beau mobilier en chêne du XVIIIe siècle : lambris, chair de vérité, bancs. L’ensemble formé par l’église et le presbytère est particulièrement harmonieux. Dans l’ancien cimetière entourant l’église, aujourd’hui reconverti en pelouse, se trouve le monument élevé à la mémoire du Général français, Duhesme. Lieutenant général des armées françaises, Duhesme fut mortellement touché au combat le 18 juin 1815 et mourut deux jours plus tard à Genappe, dans l'auberge du Roi d'Espagne.

Au tout début du XIIIe siècle, un béguinage fut construit à cet emplacement. Suite aux guerres de religions, il ferma ses portes et en 1670, fut converti en ferme. De 1842 à 1860, ces bâtiments abritèrent une école pour filles ; il redevint ensuite à nouveau une ferme. Son nom provient du fait qu'il possédait une petite tour sur un côté : il n'en reste plus aujourd'hui que la base.

Accolée à la ferme de la Tourelle, la construction de la chapelle remonte à 1760. Comme de nombreux monuments de la région, la chapelle a été construite avec l’aide d’éléments de réemploi provenant de l’abbaye de Villers-la-Ville. L’encadrement de porte et son imposte en pierre bleue proviendraient de l’abbaye de Villers-la-Ville et aurait été récupéré lors de l’expulsion des moines en 1796. Lorsque la ferme de la Tourelle servait d’école, une porte communiquait entre elles. Les élèves pouvaient de la sorte immédiatement se rendre à la chapelle.

Erigée en 1952, dans une ancienne carrière de schiste, la chapelle se veut une réplique de celle situé à Lourdes. Le site environnant est classé et porte le nom de « Montagne de Thy ».

Situé sur le cours de la Dyle, le moulin est actuellement devenu une vaste maison de campagne. Déjà existant au 17e siècle, les bâtiments actuels datent de 1773. En 1859, le moulin possède deux meules actionnées par deux roues hydrauliques. Grâce à elles, le meunier pouvait moudre jusqu’à 220 tonnes de farine par an. Le Moulin restera actif jusqu'en 1958. Son mécanisme et sa roue en fer existent encore mais ne fonctionnent plus.

Ce chemin qui fait le plaisir des marcheurs et des cyclistes est en réalité une ancienne ligne de chemin de fer ; la ligne 141. Dépourvue de canaux et mise à l’écart des grands axes, au XIXe siècle, la région de Genappe se referme peu à peu sur elle-même. Une solution: créer une ligne de chemin de fer qui traverse la région et la relie à la ligne Bruxelles-Arlon. En 1846, des sociétés privées britanniques, spécialisées dans l’exploitation des lignes ferroviaires, prévoient la création d’une voie ferrée transversale. Cette dernière doit desservir Manage, Nivelles, Genappe et Court-Saint-Etienne, avant d’aboutir à Wavre. En 1852, les premiers coups de pioches sont donnés. Il faudra trois ans pour aménager les quarante et un kilomètres de lignes, les ponts et les gares. La ligne 141 va considérablement favoriser le développement industriel dont les usines de Seneffe, les carrières de Feluy, les ateliers métallurgiques de Nivelles, la sucrerie de Genappe, les usines de Bousval et les usines Henricot de Court-Saint-Etienne. Outre le transport de marchandises, le chemin de fer permet également à la population de voyager. Si le transport des passagers s’arrête en 1953, celui des marchandises continue jusqu’en 1988. La section Genappe-Court-Saint-Etienne reste ouverte afin de permettre le transport des marchandises de la sucrerie vers le port d’Anvers. La dernière section est démantelée en 2005, un an après la fermeture de la sucrerie de Genappe. Aujourd’hui le pré-RAVeL (Court-Saint-Etienne-Genappe) et le RAVeL (Genappe-Nivelles) font le bonheur des promeneurs et des cyclistes !

Située à proximité du Ravel, ancienne ligne de chemin de fer (141) reliant Court-Saint-Etienne à Manage, la chapelle est aujourd’hui délabrée et vidée de ses statues. Construite en 1855 afin de rendre hommage aux victimes d’un accident de la voie ferrée, la chapelle est embellie au début du XXe siècle par l’ajout de deux lions en pierre provenant du château d’Ecaussinnes.

C’est à l’orée du bois de la Tassenière, que Jean-Baptiste Leroy, berger à la ferme de la Baillerie (Bousval), découvre au XVIIIe siècle le trésor de Renoussart grâce à l’aide d’un fantôme. La nuit suivante, accompagné de ses deux frères, Pierre et Henry, il retourne sur place pour déterrer le trésor. L’ainé met ses frères en garde, il leur est défendu de parler et de se retourner après avoir déterré le trésor sous peine de malheurs. Cette nuit-là, il y a une terrible tempête. Après avoir cherché et déterré le trésor, la tempête redouble de violence et soudain, un cri transperçant... Un des frères se retourne et aperçoit un chien terrifiant. Il hurle à ses frères de s'enfuir mais, à leur tour, ils se retournent… Les frères s’encourent vers la ferme, mais le chien les y attend déjà et monte la garde. Les frères passent la nuit dehors. Le matin, alors que le calme est revenu, le chien et le trésor ont disparu. Bien qu’ils soient sains et saufs à leur réveil, la terreur qu’ils ont éprouvée provoque leur mort à 7 jours d’intervalle. Ainsi, Jean-Baptiste s’éteint le 7 juin, Pierre le 14 juin et enfin Henry les rejoint dans la tombe le 21 juin 1755. Leur sépulture est adossée au mur extérieur du chœur de l’église de Bousval. Quelques temps après, une chapelle dédiée à Notre Dame des Affligés fut construite en leur mémoire à l’orée du bois, non loin d’où ils avaient aperçu le trésor. Visible sur la carte Ferraris de 1775, celle-ci, tombée en ruines, à totalement disparu vers 1890. L’ancien fronton de la chapelle fut un temps conservé dans la chapelle du château de Bousval, où il n’est reste aucune trace.

C’est sur cette place, surnommée « El Maret d’Hattain » à cause de son humidité, que les pauvres allaient faire pâturer leur chèvre et leur mouton. C’est également ici que se déroulaient les fêtes populaires, comme la fête de la Moisson, alors que les fêtes bourgeoises avaient lieu autour de l’église. Le tilleul que l’on aperçoit sur la place, aussi appelé « arbre de la liberté », fut planté en 1796 pour fêter l’expulsion des autrichiens et l’annexion de la Belgique à la France.

Jusqu'au milieu du 19e siècle, une chapelle dédiée à St Roch se trouvait un peu plus loin, au croisement du chemin Saint-Roch et de la rue Saint-Roch. Elle fut érigée en remerciement à Saint Roch pour avoir protégé les habitants du choléra. La construction de la chapelle actuelle rappelle que le culte voué à ce saint est encore bien vivant. Né à Montpelier au milieu du 14e siècle, Roch provient d’une riche famille de marchands. Dès 17 ans, il distribue sa fortune aux plus démunis et part en pèlerinage à Rome. Sur le chemin de retour, Roch est atteint de la peste et se retire dans les bois afin de ne pas propager la maladie. Le chien d’un seigneur voisin lui apporte des vivres et un ange le soigne. Saint-Roch est le saint protecteur des malades.

A deux pas des ruines de l'abbaye de Villers-la-Ville, Le Chalet de la Forêt est une institution villersoise depuis plus d'un siècle. Le bâtiment a été construit en 1898 pour y loger les ouvriers engagés dans la carrière. Depuis 1910, le bâtiment est entièrement dédié à l'HORECA. Appelé par le passé "L''Hôtel de la forêt", il est ensuite devenu "Le Chalet de la Forêt", un bistrot qui s'est finalement transformé en petite brasserie.

Avant de rentrer dans le bois de Bérines, vous apercevrez ce cours d’eau en passant au-dessus d’un petit pont en bois. Celui-ci appartient au bassin de l’Escaut, il vient de Sart-Dame-Avelines et après un parcours de 6000 mètres, se joint à la Thyle. Le Ry d’Hez activait auparavant le moulin du Fosty. Le saviez-vous ? Six espèces de poissons vivent dans cette rivière ! Notamment la loche franche, le chabot, la truite fario et arc-en-ciel.

De l'Arbre Saint Anne on jouit d'un beau point de vue. La tradition veut que Napoléon s'y arrêta pour surveiller la progression de ses troupes vers Waterloo.

Ce café/restaurant vous propose une large gamme de cafés d'exceptions qui sont torréfiés dans la maison. Outre des thés, Le Lieu vous propose également des thés d'exceptions, de très bonnes confitures, de la guimauve artisanale, des biscuits bio, du miel et des jus de la région.

Aujourd’hui déplacée dans le parc de la ferme-château de Bois Saint-Jean, la borne de Ways a été le témoin d’une tragédie durant la seconde guerre mondiale. Au mois d’août 1944, quatre résistant de l’Armée secrète de Grez-Doiceau et deux réfractaires au travail obligatoire, occupent un pavillon situé à proximité de la borne de Ways. Le 19 août 1944, le pavillon est cerné par les allemands et les rexistes, deux occupants sont torturés et abattus et les autres envoyés dans des camps de travail. En mémoire, une stèle a été érigé en l’honneur de ces résistants.

Le 16 juin 1815, une sanglante bataille se déroula au lieu-dit "Les Quatre-bras". Quelques monuments rappellent ces tragiques événements : sur la route vers Charleroi, le monument Brunswick à 400 m du carrefour, à gauche. Le duc de Brunswick fut mortellement blessé lors de cette bataille. A 800 m plus au sud, sur la ferme de Gémioncourt; une plaque rappelle la mémoire des soldats français tombés devant ses murs. Le long de la route, en direction de Nivelles, sur la droite, un monument est dédié à la cavalerie néerlandaise en mémoire des soldats tombés lors de la même bataille. A droite sur la route est érigé le monument britanique. Les troupes britaniques, menée per Wellington en personne, payèrent un lourd tribut lors de la bataille des quatre-Bras. Un peu plus loin, vers Houtain, sur la gauche, un monument aux Belges. Ce monument, très sobre, a été érigé "à la mémoire des Belges tués à la Bataille des quatre Bras pour la défense du drapeau et l'honneur des armes". Il s'agit de militaires originaires des régions qui allaient constituer la Belgique de 1830 et qui participèrent à la bataille dans les rangs des armées néerlandaises ou françaises.

Vous avez toujours rêvé de voler dans le ciel, libre comme un oiseau ? Equipé de tout le matériel nécessaire, vous prendrez place dans un siège confortable derrière ou à côté du moniteur. Les sensations à couper le souffle au décollage, la liberté de voler à l'air libre, les vues magnifiques... Vous n'oublierez jamais votre premier vol en ULM! Et ceci en toute sécurité!

Cette belle ferme brabançonne, dont les bâtiments les plus anciens remontent au XVIe siècle, fait la fierté de ses propriétaires. Toute l'année ils accueillent des évènements privés ou publics et proposent de succulent plats locaux dans leur restaurant.

Dans la rue du Béguinage, se trouve la fontaine Saint-Jacques. Elle fait partie des cinq sources miraculeuses du grand Genappe. On ne lui attribue pas de pouvoir particulier mais elle contribuerait au maintien de la bonne santé des villageois. L'inscription, sur la pierre bleue rappelle que, construite en 1844, elle fut transformée et améliorée 10 ans plus tard par les soins de la comtesse du temps.

La ferme de la Basse-Cour, dont la porte charretière fait face à la rue des Haies, est une imposante ferme peinte d’ocre jaune à l’instar de toutes celles qui dépendaient du Château de Houtain-le-Mont. Ses bâtiments organisés autour d’une grande cour rectangulaire datent pour certains des XVIe et XVII siècles, avec des aménagements aux siècles suivants.

Fanny et Philippe vous proposent toute l'année des légumes de saisons sans pesticides, des œufs et du lait cru. N'hésitez pas à leur rendre visite le samedi entre 10h-14h ou à passer commande: ferme.dyle@hotmail.com.

Cette ferme était autrefois le siège d'une des deux seigneuries d'Houtain-le-Mont. La grange de la ferme, érigée en briques et pierre bleue, fut reconstruite en 1817 après un grand incendie. De 1911 à 1919 la ferme fut transformée en haras.

Ce château a été construit par le baron Théodore de Crawhez entre 1912 et 1920 dans un style inspiré des châteaux de la Loire. Après quelques années d’abandon, le bâtiment est rénové à partir des années 90. Deux tiers de sa surface seront détruits, la façade du tiers restant sera reconstituée grâce aux matériaux récupérés lors de la démolition. Le château est aussi entouré d'une centaine d'hectares de parc et d'une septantaine d'hectares de bois. Propriété de la famille de Crawhez, le domaine n’est que rarement ouvert au public.

Ce moulin (à farine) fut construit en 1920 et était mû à l'électricité. Actuellement, il abrite un restaurant à l'intérieur duquel on peut observer les anciennes meules encastrées dans les murs. Au sommet de la façade, on aperçoit encore l'emplacement du monte-charge.

Un premier château est construit au début du XIIe siècle : il appartient au Duc de Brabant, Jean II. Le château est entièrement reconstruit en 1763, en style classique, mais il a conservé en grande partie sa façade médiévale. Au XIXe siècle, on lui ajoute deux tourelles et on restaure ses ailes. Le hall d'entrée, lui, date de 1904. Le château possède un vaste parc, des pièces d'eau, le bois des Galeries et une orangerie néo-classique. Durant la seconde guerre mondiale les allemands installent un quartier général dans le château d'Houtain-le-Val. En septembre 1944, alors que les Anglais libèrent les villages autour de Genappe, les Allemands incendient le château et évacuent les lieux. Dans la précipitation les soldats heurtent le portique d'entrée avec leur tank. L'impact est encore visible aujourd’hui. Il s'agit d'un château privé, il n’est pas possible de le visiter.

C'est ici, à Houtain-le-Val que la rivière de la Dyle prend sa source. Ce mécanisme est une vanne. En l'ouvrant ou en la fermant, cette vanne permet de contrôler le niveau de l'eau. Ainsi l'étang n'est jamais trop vide ni trop plein. Cette vanne a été installée au tout début du XXème siècle par la comtesse d’Hanins de Moerkerke pour réguler le niveau de l’étang alimenté par le ry provenant d’une petite fontaine qui existait déjà dans la première moitié du XVIIe siècle.

Petite ferme familiale qui cultive des produits sains avec du goût à un prix raisonnable pour tous. Large gamme de produits sans pesticides.

La Brasserie du Brabant est une brasserie artisanale située à Baisy-Thy. Les bières y sont brassées à l’ancienne et refermentées en bouteilles. Vous y trouverez la brabançonne ambrée, la brune, la blonde de Noël, la Moche de Noël, l’Abbaye Zitti , la Sans Rute , la Cuvée Nico et la série Origame. Et si vous brasser votre propre bière entre amis, c’est possible aussi! En effet, la brasserie peut être mise à disposition de la brasserie pour permettre de brasser votre propre bière entre amis. Ouverture au public le samedi de 10h à 12h.

Exploitation familiale depuis trois générations, la Ferme de la Goyette produit essentiellement des produits à base de lait, mais pas seulement! Des légumes et fruits de saison vous y seront également proposés, ainsi que de la volaille, de la confiture et du miel. Le saviez-vous ? La ferme de la Goyette a déjà reçu de nombreux prix pour sa délicieuse crème glacée !

Avec ses grandes portes bleues, la Ferme de la Basse-Cour du Château constituait, à l’époque du Duché de Brabant, une part importante des revenus seigneuriaux de Loupoigne. Comme en témoigne son nom, elle était accolée à un château féodal aujourd’hui disparu. Entièrement rénovée et transformée en hôtel, cette ferme en quadrilatère date des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. L’entrée charretière située du côté de l’église porte à la clé le millésime 1857, et sur une des pierres de son montant droit, une inscription datant des travaux de rénovation effectués en 1990. Le portail de gauche, qui donne accès à une très jolie cour pavée, est flanqué de chasse-roues. Pour vous informer sur l’hôtel qui l’occupe : www.indranilodge.com

Dans son grand parc boisé, le château de Nicolay date des années 1880. Il borde la place Nicolay, aussi appelée place du Marais. Un château plus ancien dont quelques vestiges sont encore visibles dans le vieux cimetière cernant l’église se trouvait à proximité de la ferme de la Basse-Cour.

La chapelle Notre-Dame de Foy fut érigée en 1638 par les seigneurs du lieu, Robert de Celles et Anne de La Bourlotte, suite à la guérison de leur fils Thierry, alors âgé de 3 mois. Surplombant la vallée de la Dyle, la chapelle présente une architecture peu fréquente dans la région, inspirée de la Renaissance mosane, ce qui lui vaut une admiration particulière. L’édifice est construit sur un plan octogonal et est flanqué de quatre tourelles sommées d’une flèche hexagonale. Le corps central est surmonté d’un clocheton arborant trois abat-sons superposés ainsi qu’un bulbe portant une croix en fer forgé. Un ermite vivant à proximité de la chapelle était chargé d’en assurer la garde, l’ouverture et la fermeture, l’entretien et la sonnerie de la cloche. Il participait au service des messes et accueillait les nombreux pèlerins. Le bâtiment qui jouxte la chapelle fut reconstruit en 1750 pour remplacer l’ancien ermitage devenu vétuste. Cet ermitage servit également d’école pour les enfants pauvres de Loupoigne et de Baisy. Ainsi, l’ermite endossait aussi le rôle d’instituteur. Près de l’entrée de la chapelle se trouve un pilier en briques orné d’une pompe. Il s’agit en réalité d’une des cinq sources miraculeuses du Grand Genappe : la source Saint-Quirin, dont l’eau était puisée pour guérir divers maux, dont les ulcères. Depuis la drève Notre-Dame de Foy, ne manquez pas la vue imprenable sur l’ancienne sucrerie de Genappe, témoin d’un passé industriel révolu.

Le site de l’ancienne sucrerie de Genappe comprend, outre les grands bâtiments et silos qui font désormais partie du paysage genappien, plusieurs dizaines d’hectares de zones vertes et de bassins de décantation. C’est en 2015 qu’est officiellement créée la réserve naturelle domaniale « Les Décanteurs de la Sucrerie de Genappe ». En effet, une extraordinaire biodiversité s’est développée dans l’ancien site industriel de 77 hectares devenu havre de paix naturel pour les oiseaux… et les ornithologues ! Cette réserve naturelle devient ainsi la plus grande du Brabant wallon. Elle est gérée par le Département de la Nature et des Forêts de la Région wallonne avec la participation de l’ASBL Environnement-Dyle. Des visites guidées sont régulièrement organisées. www.environnement-dyle.be

Elle date de 1703. Sous la niche, on peut lire une inscription : « Dédié à la sainte famille - Jésus Marie Joseph – par Georges Wautié – MDCCIII ». A l’intérieur, se trouvent les statues de la Sainte Famille et du Sacré-Cœur de Marie.

Situé à 1 km de la Ferme du Caillou, dernier Quartier Général de l’Empereur Napoléon, la ferme du Chantelet a été témoin des affrontements entre l’armée française et l’armée prussienne les 17 et 18 juin 1815. Commandant des 1er et 2e corps d’armée, le Maréchal Ney (1769-1815) loge dans la ferme après la Bataille des quatre Bras. Le lendemain éclate la bataille de Waterloo… A proximité de la ferme, se dresse une chapelle baroque érigée en 1661 par les habitants de la ferme du Chantelet. Les habitants avoisinants, trop éloigné de l’église paroissiale, pouvaient de la sorte se rendre régulièrement dans un lieu de culte. Laissé à l’abandon pendant de longues années, le chapelle est sauvé de la ruine grâce à Louis Solvay.

Le lendemain de la bataille de Ligny, c’est dans cette ferme (« La ferme du Caillou ») que l’Empereur français installe son dernier Quartier Général le 17 juin 1815. L’empereur y établit une stratégie pour la bataille de Waterloo qui aura lieu le lendemain matin. Aujourd’hui transformé en musée, le Dernier Quartier-General de Napoléon met l’accent sur les événements de la nuit du 17 au 18 juin 1815 grâce aux témoignages et anecdotes issus de la vie civile et militaire, le tout dans un décor authentique. La scénographie du musée a été particulièrement pensée pour l’accueil des plus jeunes en intégrant des éléments ludiques (jeu de codes, énigmes, parcours) et pédagogiques. Ceux-ci permettent aux enfants d’approcher et de comprendre cette période de l’histoire tout en se divertissant. Outre de nombreuses animations proposées aux familles pendant les congés scolaires, le verger et le parc attenants au musée accueillent tout au long de l’année plusieurs événements pour le grand public. Ouvert du 1er avril au 30 septembre de 9h30 à 18h et du 1er octobre au 31 mars de 10h à 17h.Fermé les 25 décembre et 1er Janvier

Créé en 2009 par deux frères Karel et Ignace de Paepe, la Ferme du Passavant produit une large variété de pomme de terre. Le corps de ferme abrite un magasin de produits locaux géré par une coopérative de producteurs BIO “Agricovert”. Bâtisse de caractère, la ferme dispose également de gîtes authentiques dans un cadre verdoyant (Les Gîtes de Passavant). Installée dans la superbe grange de la ferme du Passavant, la liquoristerie artisanale Les Apéros de Philomène, propose une gamme d’apéritifs à base de plantes, de vins aux fruits, d’une trentaine de pékêts, et d’autres produits de terroir. Fabriqués artisanalement et de façon naturelle, les produits de Philomène régalent des milliers de consommateurs. Visite Guidées & dégustation (5€/ personne) sur rendez-vous.

C'est aux alentours de ce carrefour que se cache une des 10 cachettes du Genappe-caching! Indice: le plus gros des quatre a un creux... Mais le Genappe-caching KESAKO ?! Armé de votre smartphone et d’une carte, partez à la recherche des 10 caches dissimulées dans la commune de Genappe. Chaque cache renferme une histoire croustillante sur le village et son patrimoine. Envie de participer? relaisduvisiteur.be/inscription/genappe-caching/

L'Arbre de Promelles est un point de repère géographique à la fois civil et militaire. Situé sur les hauteurs du hameau de Promelles (160m d'altitude), il domine la campagne environnante tel un phare en pleine mer. A l'origine, cet arbre délimitait le territoire de la seigneurie du même nom. L'ancien peuplier de 1906 a été remplacé en 2003 par un tilleul.

Pour partager leur mode de vie rural, la ferme de la Vallée a choisi de développer un projet pédagogique autour des activités de la ferme. L’objectif est de faire découvrir au public, par une participation active, la réalité vécue au quotidien d’une exploitation agricole de type familiale, où le végétal, l’animal et l’homme vivent en harmonie. Vente de produits de ferme tous les jours de la semaine entre 10h-18h30.

Le maillon est un lieu de rencontre, de réparation de vélo, de partage de connaissances, de création de projets vélo ou encore point de rendez-vous cycliste. L'équipe vous y accueil pour boire un verre, manger un morceau, vous partager des itinéraires et vous aider dans les petites réparations de votre deux-roues.